cn mg étan bartottaient Etiérabranet dans de chemin et quel chemée” N'enspéche qu'en arrivant à Ehe vimes à deux curés MM des abbés Bastien et Hogue. et une trentaine Camumchiles qu mous atiemdaient. tien décidés à mous azmemer Les curés jetèrest de hauts cris lesque cous cities La dépérhe ‘lis
es recourant à de tous burs voisins pour compléter des achats plus megemts Les uns que Les cnres. |
La pêms belle ram bmmée Non, Les hommes, vous suivisses
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Les éscours de béevemue par M Le
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étmes peivés dr visies la well pars se de Saist-Charbes dut mous sémi- | sans Les édiices dams ie lointain Î
M be curé Basten marat dome
vess se grand vicae M Cu-son présents de ls Sarëté Sam-Jean |
_ltre 1H y à heu d'espérer
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années, La lutte livrait cancer, ta maison de Rouma- 1 troô- les heu- La parti- . à la guerre dessus du Furt € . et que Riel fit éescenère d'iovsdies des Pine ee 0e ee Does ver di US boue oui de FOR US PE PE re On grâce à Riel guerre. la Roumanie, gouvernée par le roi Charles, aurait en secret Cet exposé proroquà plus que de | puissances centrales Dès qu'il
Pendant un discours du trône en
7 ni étre com- |, vembre 1915, le roi Ferdinand fut
sidéré comme un des pères de la Con-
agents allemands cherchèrent à faire détrôner Ferdinand e+ à lui substi-
Elies suit de M Harry Bernard tuer un prince allemand On compio-
directeur du “Cuurner de Saint-Hya-
Certains groupements paraissent Lrès
ta même contre la vie du souverain | La situation de la Roumanie pen- | dant la guerre était des plus difficile et après deux années de guerre, le pays était envahi par l'ennemi Les
rent obligés d'accepter des conditions de paix onéreuses de l'Allemagne, après un ultimatum de 24 heures La
prospères, et l'en y respire un opti- |Séfaite de l'Allemagne révoqua heu-
misme qui donne grand espoir Au point de vue national on est confiant aussi, mais jusqu'à quel point la con- Sance est<lle justifiée? C'est ce qui resterait à délimiter Car si l'on en- signe partout le frasçais il ne reste pas moins que Îles textes de loi sont Là dans les statuts de chaque pro- vince, el qu'ils prucrivent la langue
française Tant que £gouverue- ments seront tolérants quis tien- éront au principe de La loi sans
s'acharnez à e2 faire respecter la let- Car les nô- tres, même dans ces conditions ins- tables, progressent Leur nombre augzmêmte, par l'accruissement nalu-
lrei par les recrues qui leur viennent | du Québec ou de la Nouvelle-Angle-
terre. lis ont partout une forte orga- misation paroissiale, ils possèdent le sol l'aiument, le cultivent avec joie
| Ills soat aussi fort unis surtout dans
les centres ruraux. et font autour de
|régise et de l'école, un cordon serré | lis
ltrouvent moyen d'enseigner Île français à leurs enfants et de prulbon- ger ni28 d'un but à l'autre du Do- maurmmonm, La vie française de ls vieille
| province Queiques-uns pourtant trouvent cts méthodes aléalotres craignent
- iqueles n amènent ua jou ou l'autre
d'amères déceptions Libre à eux En attendant Les nôtres viv=t et grandissent Nous avons cité le cas @ pluseurs localités jeunes parties
- | de rièn, qui sont aujourd'hui des cen-
tres fortement établis Il y a Dei- mas, dans la Saskatchewan qui comp-
Buptate de Sam -Batace et pèu- | tait cinq Canadiens français vers ours mtshèes Un à un d nomme | 907 et qu «3 à maintenant cxquan- Les métis en descendants de métis pré- |le familles U y ae Wilue Buncn
reusement ce traité léonin
Le prince Michel, fils de l'ancien héritier Carol, a été proclamé rot de Roumanie pour succéder à son grand- père le roi Ferdi1and
Le prince Michel est le fils de la princesse Hélène de Grèce. Il est né le 25 octobre 1920 et fut créé héri- tier présomptif du trône le 31 dé- cembre 1925. À la suite de la renen- ciation à ses droits de son père, le prince Carol
Le petit prince Michel, qui monte sur le trône de Roumanie. est un en- fant maladif Deux fois, cette année, sa mère l'a conduit à la plage pour le tonifier. On dit cependant qu'ac- tuellement le petit roi a repris des forces :
chement est relativement facile, la terre riche, les hommes sont coura- geux Les peroisses nouvelles sur- gissent de partout, réalisant peu à peu le rêve de S G. Mgr Hallé, vic£ire apostolique de Hearst: le pont cana- e-français par le nord, entre le Québec et les provinces de l'Ouest. De Cvchrane à Hearst, on ne compte pas mêins de dix-huit paroisses cana- diennes-françaises toutes en plein développement, qui n'attendent que des bras pour grandir rapidement.
Mais partout on demande du ma- tériel humain On demande des hom- mes et des femmes, qui viendroat for- Lier les groupements établis, qui se- ront le noyau de colonies nouvelles L'Ontario-nord, le Manitoba français, la Saskatchewan et l'Alberta ont les yeux tournés du côté de Québec Ils Le veuient pas afflaihlir la provinre- mère, mais ils lui demandent les bras
mt, et cum se levant furent vi-| fondé depuis 1912 seulement. qui «|qu'elie a en trop. les fils qu'elle ne suf-
goureusenne 2 applaudes pas La Lin | aujourd bus une population cathob- ne ” | que de 1240 âmes dont upe cinquan- Puis M Charette avocat mevenu dt Laine seulement d'irlandais et d Ale-
Loue Miel De um travail fortesment
mands Il y « cent autres endroits
écummené et d'un mmtérét palpiiant dans la Prairie défrichée d'hier, qui sur es premières fâruhés de 1870 altestent ainsi la vitaité des nôtres Les La Champagne ds Nord-Ouest, |et leur volonté de survivre
état ses duits à L'Angheterte Lais- Dans lAtitile et le nord de !1Cm-
em le pays sas gouvermement régu- |Lario be même espril d'optumismme rè-
ft plus à nourrir et qui partent ordi- nairement pour l'étranger. L'Ouest s'étonne qu'on ait paru l'ignorer si longiemps. Il a pour lui l'avenir, il De Comprend pas que les hommes d'Etat canadiens, ceux du Québec surtout, n'hient pas fait l'impossible [pour diriger les Canadiens français vers ls Prairie, ne leur aient pas don-
Der quest qui pass au Conads jgue La région prospère. Le défn-|né ce pays riche enire loue.
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| pays qui en est venu à croire, à cause New-York
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coup direct aux produc-
un très grand
de Tlindubitable supériorité de ses dollars, qu'il possède également la supériorité de l'esprit Nous ne dou-
AINS
‘“Laissons aux Américains la matérielle, nous
ne désirons la direc- tion spirituelle, dit l’‘‘Os-
; Romano” |est gouvernée par les fermiers. Il y à la prochaine session fédérale.
part à la célébration du jubilé de dia- mant de la Confédération, et je puis
mant ” (M. Baldwi2 est né le 3 août 1867.) ‘ u viron 80) se retire au couvent de | Le premier annonça qu'il visiterait | Jésus Marie, à Sillery.
Winnipeg dans son voyage au Ca- A ere
nada. La canalisation du Saint- “Je serais curieux de savoir, con- Laurent tinua-t-il, combien il s'en trouve par-
mi vous qui s'intéressent à ce qu'ont! Ottawa -- On ne croit pas que les fait les fermiers du Canada. [pourparlers entre le Canada et ies dant des arnées, les spéculateurs de Etats-Unis au sujet de la canalisation blé les ont pris en dérision, mais en|4, Saint-Laurent commencent avant moins de cinq ans les méthodes Ge|},,;tomne, en septembre prochain, et marché de l’ouest du Canada ont été ils seront très longs. De part et d’au- révolutionnées et la dépression a fait tre on discutera le projet avec lenteur place à l'optimisme. . C'est une des|} cause de l'importance extrême de raisons pour lesquelles je vais au Ca- l'entreprise. Le rapport des ingé- nada. Je veux être du nombre des |,jeurs, canadiens et américains, sera optimistes pendant une ou deux se- signé dans quelques jours à Buffalo maines. et ensuite le gouvernement en pren- “Tout cela a été accompli par les! 4,1 connaissance. Ce rapport sera fermiers eux-mêmes. A la suite du|,,L4u public à la même date à Otta- d'après-guerre, ils se sont| ya et à Washington comme cela se consultés et ont formé une Coopéra- | fuit pour les traités et autres docu- tive dans les grandes provinces pro-|nents intéressant les deux pays. Ce ductrices de blé, et cette Coopérative | Lapbport sera étudié par le Parlement
a un an, elle comptait 125,000 mem- 0" CDD ————
bres. lis disposent de 212,000. 000 de | : La Saskatchewan sera re- ne présentée par 130 délégués au co
pas que l'esprit américain ait | reprises
de Winnipeg
Saskatoon — An congrès national du parti conservateur qui s'ouvrira à Winnipeg. le 11 octobre, la Saskat- chewan sera par-environ
DEFAIT SHARKEY
11 le knockoute à la septième | 19 à une réunion de l'exécutif de
ronde — 82,000 personnes|,, suxatchewan, à laquelle assis- assistent à cette rencontre | taient environ 50 délégués.
Un comité des délibérations, char- Jack Dempsey a fait | gé de la rédaction de toutes les réso- une rentrée sensationnelle, en knock- | lutions de la Saskatchewan, a été dé- ouiant Jack Sharkey, de Boston, dans | signé. Avant l'ouverture du congrès, la septième ronde d'un combat de 15 |les délégués de la Saskatchewan tien- Une foule de 82.000 per-; dront un caucus auquel ils choisiront
JACK DEMPSEY
d'indéniables qualités de sens prati- | sonnes, qui paya plus d'un million et | le candidat qu'ils appuieront au poste
que et qu'il muisse les adapter à une | quart, a été témoin de la rencontre.
mentgilité ultra-moderne, mais nous!
persistons à croire qu'elles sont dé-|bat après avoir encaissé u3 dur coup fectueuses. Les Américains ont |à la mâchoire. Le boxeur de Boston construit de monstrueux édifices de | avait déclaré un ‘“foul”, parce qu'il 40 ou 50 étages qu'ils nomment grat- | avait été frappé dans le corps, avant
te-ciel Mais quand l'Amérique était encore inconnue, nous avons élevé des cathédrales pour nous rapprocher des cieux.
oublier sôn passé pour acccepter les yeux fermés une civilisation improvi- sée d'au-delà de l'Atlantique
| prétentions de Sharkey.
rEt cette vieille Europe, dont le | : Dans la première ronde, Sharkey sol est mélé à la poussière de dix gé- |eut l'avantage, mais à mesure que le pérations glorieuses, ne peut âisément | combat se déroula, Dempsey s’amé-
"C'est pour celle ruison que nous | croyons dangereuse pour notre civi- | lisation la suprématie qué les produc- | teurs de films d'Hollywood ont sur |
nous. Consciemment où intonsciem- ment, ils nous administrent des doses du plus dangereux poison dont les effets pourront avoir des conséque- ces désasitreuses
“Soyons sur nos gardes et libérons- nous de ce joug qu'on veut assujettir sur nôs épaules
“Le cinéma est appelé à devenir un puissant médium éducationnel, pour- vu que nous puissions tirer de notre
civilisation vieille de milliers d'an- nées les éléments néressai à gar- der la direction spiri que la
puissance de l'argent ne peut ache- ter. Laissons aux Américains la di- rection matérielle. nous ne désiruns que la direction spirituelle”.
New-York acclame Byrd
New-York La population de New-York a fait une véritable ova- on au commandant Byrd et à ses trois compagnons qui ont traversé l'Atlantique sur l''America” et à Cila- rence Chamberlin qui a conduit Île
de chef du parti Ru Le congrès mondial culture
Tous les détails concernant le con- grès inondial d'aviculture qui se tien- dra à Ottawa du 27 juillet au 3 août ont été arrêtés, et les officiers n'ont, plus maintenant qu'à attendre l'arri- vée des délégués et des visiteurs et à recevoir les envois de volailles qui doivent être exposées. Les arrange- ments relatifs aux assemblées que Son Excellence lord Willingdon, gou- verneur général, et le T. H. W.-L Mackenzie King, premier ministre, inaugureront le mercredi 27 juillet, ont également été conclus. Le con- grès sera le plus important qui ait été tenu jusqu'ici, quarante pays ayant manifesté l'intention de s'y faire représenter.
Après la clôture officielle des séan- puis que le contrat avait été signé a de ue rond entre ces deux hommes, Sharkey était rent vendues aux enchères. Consme favori En premier lieu on donnait elles représentent ce que chaque pays 6 pour 5 sur ses chances. Les cots-|, uit de mieux, on s'attend rss |
tions montèrent ensuite à 13 pour bonne partie trou puis il y en avait plusieurs qui of- c à poiunercisé our
fraient jusqu'à 2 pour 1 sur Sharkey. —e
Grâce à cette victoire, Dem sæ : . A M ave | Nouveaux sites historiques
Sharkey fut déclaré hors de com-
d'avi- LA
d'être mis hors de combat. Mais l’ar- bitre O'’Suilivan ne partages pas son opinion et il refusa de reconnaître les
liora, et après la troisième ronde, il attaqua avec une furie sans pareille. Sharkey eut toujours l'air confiant. Mais l'ancien champion du monde était le meilleur homme.
Cette défaile met fin aux aspira- tions de Sharkey, qui aurdit obtenu une rencontre avec Gene Tunney, pour le championnat du monde, s’il avait triomphé. La chute du boxeur de Boston a aussi été fort dispen- dieuse, car il était gros favori. De-
met en ligne pour un assaut avec Gene Tun:ey. Il est probable que le champion du monde le rencontrera A la réuaion annuelle de la Com- en septembre prochain La rentrée mission des Sites et des Monuments du champion a été sensationnelle, ét historiques tenue récemment à Otta- plusieurs sont d'opinion qu'il possède Wa, plusieurs sites additionnels ont été désignés pour être marqués plus
encore sa vigueur d'autrefois. tard. Parmi ces sites sont les sui-
eme + —— vants:
Mgr Seipel a formé un Brandon House (Manitoba), un an-
directoire cien poste de traite établi en 1794:
= —— situé au confluent des rivières Assi-
Londres - Le correspondant de 1e | "!P0ine et Souris, 21 milles au sud-est
Westminster Gazette” à Bratjsievs [®° l'endroit où s'élève aujourd'hui la
ville de Brandon.
“Columbia” dans une méme traver- sée aérienne
Ils sont venus d'Angleterre à bord du ‘“Levisthan”. Une foule énorme était massée dans les rues pour les au passage et © fut un véri- table délire tout le long de la route Charlies-A. Lindbergh qui les a
mande à son journal que le chance- lier d'Autriche, Mgr Seipel, a formé un directoire de quatre, dont lui-mé- me, bourgmestre Seithe et l'ex-chancelier Renenr, en attendant la création d'un cabinet de coalition dans lequel en-
Carleton (Saskatchewan)—Le fort
Carleton, célèbre dans l'histoire des
le leader sociali B Le }Premiers Lemps du Nord-Ouest cana- 4 dien.
em — —
La Commission du Blé va
treront des leaders socialistes L'une
:
précédés dans sa traversée de l'Atlan- tique en avion, est allé les salier au quai. |
Les avialeurs ont été conduits à la mairie où le maire leur à souhaité la bienvenue, guis à Madison Square.
cesser ses opérations des grandes difficultés de Mgr Seipel,
au dire du correspondant, est de rete- Ottawa —/ Conformément à un or- nir les services du chef de politel dre en conseil du 15 mars 1927, la Schoeber, qu'il considère comme le!Commission du Blé, qui existait de- sauveur de Vienne, mais en qui les]puis 1919, lerminera ses opérations socialistes voieñt un tyfàn Île ler septembre. A partir de cette
D © TT, tt
l'Alberta. Le premier miaistre ne 5° rendra pas. : ne nl us Le Vatican et la situation autrichienne
Rome — Le Pape Pie XI a pris ur intérêt tout paternel à la situatior
dinal de faire tous ses efforts pou conseiller la paix afin d'éviter l'effu.
me. 2. © mme
Le suffrage féminin en Angleterre 23
mes comme aux hommes. Le vot féminin est donc remis à l'an } chain ou aux calendes grecques. — ——— De —— Aurait-on enfin des nouvel les des aviateurs Nun- gesser et Coli?
Saint-Jean, Terreneuve — ‘“Nun- gesser et Coli au secours.” Ces mots. qu'on croit} un appel. des aviateur: français, écrits au crayon, d'une main tremblante mais ferme, ont été trou- vés sur une feuille "de papier, le & juillet, dans un flacon de brandy, à Mike's Cove, Point May, par un jeune garçon de 14 ans du nom de Patrick | Cousins. 1
11 cassa la bouteills afin d'en reti- | rer la feuille de papiér. |
L'inspecteur J.-H. Small, des té16 graphes postaux, a visité Mike’s Cove et est d'avis que le récit du jeune homme est exact. JIl à apporté ls
Neuve des flcs françaises Saint-Pier- re et Miquelon. |
25,000 Canadïéns en Europe |
Ottawa — Le gouvernement fédé- | ral, se basant sur les rénseignements | fournis par le département des pas- : sports, croit qu'il y a actuellement: 25,000 Canadiens. voyageant en Eu- rope. Depuis le commencement de l'année 18,000 passeports ont été | émis; 1,800 anciens ont été renouv: lés et plusieurs milliers sont encore en vigueur. , -
22m —— Deux cents personnes tuées en Palestine
Londres — Le “Colonial Offié” vient de recévoir un message du haut commissaire intéritnaire de Palestine qui dit que 200 personnes ont petdu la vie, que 356 ont été grièvemeut blessées et 375 légèrement, au cout: |
|
VANCOUVER — Le Dé Henry Ashton, de l'Université de la Color- bie-Angiaise.} a été créé chevalier d: la Légion d'Hhonneur pour ses servi- ces comme professeur dé français et promoteur de relations plus étroïltés. entre ia France et le Canada,
FH Li
Ë $
Au desbert, le très distingué com- tuissaire général du Canada en Fran- ce a porté la santé du roi d'Angle- tetre, du président de ln République française, et dcnné lecture d'un télé- grumme de M. Mackeuzie King, pre- iier ministre du cabinet canadien, représenté à la célébration parisien- he du 60me antiversaire de la Con- fédération canndienne, par M. Ernest Laâpointe, ministre de ia justice, M. Philippe Roy remercia ses hôtes de la fidélité bienveillante que Paris et la France gardent au Canada ‘qui est, dit-il, à vos côtés et désire y res- ter toujours”.
M. Ernest Lapointe
Puis, le commisaire général offrit
la parole äà M. Lapointe, ministre de
la justice et représentant du Canada |
7e. PR LL Le à L
l'épreuve du feu. Vous avez jeté dans la bataille 500,000 hommes et vous avez eu 60,000 morts. Vallà l'ampleur du,sacrifice que vous avez consénti au droit. votià le témoigna- ge que vous avez donné de votre con- ception de lu liberté et de la dignité des peuples. 11 n'en est pas de plus belle. Ainsi vous avez ajouté une page glorieuse à votre histoire dont la trame n'est que bravoure, droiture et fierté.”
MIRA CANADIEN
Les paroles qui furent prononcées,
à la conférence navale de Genève, | 22 Présence des représentants du gou-
qui retraça en termes excellents l'histoire de son pays, dont le tiers des habitants a conservé de la Fran- ce sou parler et l'amour de ses tradi- tions, et qui jouit maintenant de sa pleine autonomie et de sa liberté d'ac- tion. M. Lapointe exprima avec un rare bonheur d'expression sa confian- ce inébranlable dans le génie de la France, son invincible espoir dans les destinées de notre pays où un grand noinbre de Canadiens dorment leur detnier sommeil, et il conclut en expri- mant le voeu que ‘le Canada, preuve vivante que la coopération franco- britannique est réalisée, serve de lien d'agent de concorde et d'harmonie pour le maintien de l'union sacrée entre la France et l'Angleterre”. M, Kodoiphe Lemieux
Après ce discours, très applaudi, M. Rodc!pbe Lemieux, président de la Chambre des communes du Canada, récemment €lu membre associé de l'Institut de France, prit la parole pour définir l'union de deux races et de deux grandes nations, dans la Co2- fédération canadienne, au Nouveau- Monde qu'illustrent les plus beaux pouvenirs de la France civilisatrice.
Au nom du Conseil municipal de Paris, son président, M. Delsol, pro- uit de faire donner à une avenue de
DODD'S KIDNEY: PILLS |
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vernement français et du corps di- plomatique, à l'occasion du 60me an- niversaire de la Confédération cana- dienne, par les orateurs du Canada, ont une sigaification interalliée, en même temps qu'une importance poli- tique dont il nous est agréable de pré- voir les conséquences nécessairement amicales.
M. Philippe Roy, commissaire gé- néral du Canada en France, hôte par- ticulièrement aimé des Parisiens qui le voient À l'oeuvre, est un diplomate qui a su, pendant des années déjà lon- gues et toujours bien remplies, s'ac- quitter de ses hautes fonctions avec un succès qui montre tout ce qu'il y
plomatie de l'amitié.
Célébrer ainsi les heureux effets de la Constitution fédérale de 1867, c'est répondre au voeu des initiateurs de ce grand acte, notamment aux in- tentions du comte de Carnavon qui, en géance solennelle de la Chambre des lords, a déclaré vouloir faire des possessions anglaises de l'Amérique du nord “un grand Etat, digne de prendre place à côté des Etats-Unis”. Soixante ans se sont écoulés depuis que les contemporains d'un Georges Cartier, d'un Hector Langevin, d'un Charles Chapais ont reçu, comme le statut fondamental de la liberté de tous les Cariadiens, Anglais ou Fran- çais, l'Acte constitutionnel par le- quel une solution équitable a mis fin, comme nous le .disions naguère, ici même, ‘au conflit souvent tragique qui, depuis plus d'un siècle, opposait deux races, deux langues, deux na- tions également riches de gloire, de souvenirs et d'espérance, parfaite- ment dignes de s'entendre, de s'esti- mer, de se rapprocher par l'élan mu- tuel d'une fraternité généreuse, sur les rives transatlantiques où Samuel Champlain a fondé une Nouvelle- France, arrivant e:\ Amérique au mo- ment même où, par l'effet d'une mé- morable coincidence, Henry Hudson précédait les fondateurs d'une Nou- velle-Angleterre sur la route mariti- me de l'Ouest”.
L'Entente cordiale est la suite na- wturelle de l'émulation héroïque. Il [n'y a pas de geste plus émouvant que l'alliance chevaleresque de deux adversaires qui, après s'être loyale-
d'efficacité bienfaisante dans la di-
Sirop de vinaigre Nectar Sirop Grenadine, citron, lime, orange, fraise, framboise, ananas, cassis Tous nos sirops sont garantis pur sucre
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Winnipeg
Rs —_—_——————
meflleures. Filles guérissent maux de rognons seulement et
les maladies causées par les ‘rognons malades. Voilà
ce que nous dit Mme Flynn au sujet de ces pilules:
Ma petite, qui est âgée de cinq ans, souffre des rognons depuis sa naissance. L'hiver dernier j'achetai des pilules Dodd. Efle en prit trois boites et est complètement guérie. Mon mari souffre aussi du mal d'estomac depuis plusieurs an- nées. Je lui achetai une boîte de tablettes Dyspepsia de Dodd, et depuis lors il ne peut s'en passer. Trois boites suffi- rent pour le guérir et je ne sau- rais trop recommander ces pi- lules,”
En vente chez tous les mar- chands où Gerald-S. Doyle, St- Jean, Terrenèuve.
Colonisation et emprise du so! dans le Québre après La cession de 1769 — Colonisation et empris: du soil au Manitoba après l'entrée dans ls Confédération en 1831 — les effets remonter aux Causes
a
nent mesurés, se trouvent égaux dans une estime réciproque, et s'en- gagent à mettre en commun toutes les ressuurces d'énergie morale dont ils disposent, afin de consacrer en- semble à l'accomplissement des dif- ficiles devoirs dont se compose la t4- che permanente de l'élite humaine toutes leurs forces désormais réunies pour la défense du droit et de la liberté.
Tels sont les sentiments, telles sont les pensées dont s'est inspiré, en célé- brant à Paris l'anniversaire de la Confédération canadienne, M. Ernest Lapointe, l'éminent député de Qué- bec, ministre de la justice dans le cabinet que préside M. William-L. Mackenzie King, premier ministre et secrétaire d'Etat des affaires étran- gères. Les auditeurs parisiens de M. Lapointe ont apprécié dans son éloquent discours, en même temps que l'élévation des idées, la vigueur ex- pressive d’un langage où l'on retrou- ve l'accent des Français qui, aux temps des labeurs d'antan et des guerres d'autrefois, ont travaillé, combattu, souffert pour le Canada.
Jümes Woilfe, général anglais, et le marquis de Montcalm, général fran- çais, sont tombés l'un et l’autre au champ d'honneur, le même jour, pres- que à la même heure, le 13 septembre 1759, près de Québec, dans un endroit qui, du nom d'un des premiers Jabou- reurs de la Nouvelle-France, Abra- ham Martin, s'appelle la plaine d'Abraham. Aujourd'hui, non loin de la statue de Champlain, qui domine comme du haut d'une acropole les eaux du Saint-Laurent et l'horizon des iles, une stèle dédiée à Wolfe et à Montcalm réconcilie ces deux hé- ros dans l'admiration unanime de deux grandes nations émues par des souvenirs historiques et légendaires dont l'évocation unit au prestige idéal de la poésie renouvelée d'âge en âge par l'acclamation d'un peuple nou- veau, docile à l'appel d'un magnifique avenir, la puissance réelle d'une vé- rité souvent proclamée par les sa- vaats et les sages qui sont les gar- diens fidèles d'un glorieux passé.
Lord Aylmer, gouverneur général (au Canada en 1831, a rendu un hom-: mage suprême à la mémoire de Mont- calm. Lord Bryce, l'illustre historien de l'‘Empire germanique” et de la ‘République américaine’, assistant à la célébration du troisième centenaire des découvertes dé Champlain, a no- blement parlé de Wolfe et de Mont- calm, disant à quel point l'un et l'au- tre, le gentilhomme et le “gentle- man'’ sont dignes des hommages de la postérité Les témoins de ces commémorations émouvantes se sou- viennent d'avoir vu sur les rives du lac Champlain, notamment le 7 juillet 1909, dans la délégation canadienne, à côté de sir Lomer Gouin et de Mgr Roy, alors évêque auxiliaire de Qué- bec, un jeune ministre du cabinet Laurier, M. Rodolphe Lemieux, qui déjà contribuait, par son talent ora- toire et par sa prévoyance politique, au resserrement des liens de l'En- tente cordiale. Aujourd'hui président | de la Chambre des communes du Ca- nada, M. Rodolphe Lemieux est, en ce moment, l'hôte des Parisiens, qui | ont d'excellentes raisons de l'accueil- lir et de l'applaudir.
L'Académie des sciences morales et | politiques, ayant à procéder, dans sa séance du 18 juin dernier, à l'élec- tion d'un de ses associés étrangers, au siège vacant par la mort du car- dinal Mercier, vient d'élire à l'upani- mité M. Rodolphe Lemieux. Le nou- vel académicien a des titres qui ne pouvaient échapper à l'attention de l'Institut de France. Il est un des signataires de l'accord du 5 décembre ee entre le gouvernement français
te
et le gouvernement du Canada, rela-
Nous nous contenterons pour Île moment de faire les citations (sans remarques }. .,
En 1769, Masères, secrétaire de Carleton, le gouverneur, avait, sur Or- dre de ce dernier, préparé un rapport pour étre envoyé en Angleterre, au sujet des terres, octrois, etc. rapport qui fut rejeté par Carleton qui en fit préparer un autre plus en rapport avec la justice et le point de vue de l'avenir du pays On y lit ceci
“Le roi de France avait rendu or- donnance au sujet des terres dans cet- te province, déclarant que personne ne pourait construire une maison nou- velle dans cette contrée, en dehors des villes et des villages, sans être propriétaire de 60 arpents de terre Cette loi avait pour objet d'empêcher les enfants de s’adonner à la pares- se.. en s'établissant dans des condi- tions désavantageuses sur des lopins de terre insuffisante … et les forcer à défricher de nouvelles terres (qu'ils avaient le privilège de demander aux seigneurs, en- quantité suffisante, moyennant des redevances très mo- dérées) qui leur permettraient de mieux pourvoir à leurs besoins pru- pres et de se rendre plus utiles au public.
“Or cette loi est complètement mi- se de côté et les enfznts des francs- tenanciers, d'un bout à l'autre de La province, s'établissent sur des lopins de terre de 40, 20 et méme quelque- fois 10 acres seulement, leur portion de terre du père, où ils se construi- sent de petites maisonnetles, comme si la lui précitée n'avait jamais existé
‘De plus, lorsque les seigneurs leur rappellent l'existence de cette loi et les engagent à prendre et à défricher des terres nouvelles, ils répondent que, conformément à la loi anglaise, ils sont d'avis que quiconque peut, quand il lui plait, construire une mai- son sur sa terre, si petite que soit celle-ci.
“C'est une pratique regrettable qui contribue beaucoup à entuurager la paresse, l'ivrognerie et la mendicité que l'on observe déjà trop dans cette pruvince.
"C'est pourquoi 20 ans après la ces- ! sion du Canada à l'Angleterre, la co-'
lonisation ou le développement du territoire ouvert à La colonisation avait à peine quitté les rives du Saint Laurent, elle restait confinée dans les anciennes limites qu'elle ne voulait pas abandonner. au-delà, ce n'était que la forêt.
Le grand obstacle au développe- mnt rapide de la colonisation était aussi le manque de communications Quoi qu'il en soit, les gouverneurs du témps trouvaient de l'argent pour sol- der les frais d'entreprises très coû- teuses, pendant qu'ils abandonnaient les colons qui osaient s'éloigner des rives du fleuve. Ils r-fusaient de leur accorder le moindre petit oetro! pour les aider à s'avancer dans la forêt et agrandir le domaine de la colonisa- tion ”
Une autre raison c'est qu'après la cession, plusieurs seigneuries furent! achetées par des bourgeois canadiens et de riches propriétaires anglais qui augmentèrent les taux des cens e! rentes (Ce qui fit que les habitants plutôt que de se soumetre aux exi- gences des nouveaux seigneurs, s'abs- tinrert de demander des concessions de terres.
Pourquoi, comme conséquence ulti-
me, ils divisèrent leurs terres en lots || de 20 et même 10 ncres de terre ôù |} les fils se construisaient une maison || pe part | | |
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Les cors sont occasicnnés là pression des chaussures sur les doigts de pied, mais per- sonne n'a besoin d'en souffrir longtemps lorsqu'on peut se Procurer un remede si simple
que Holloway's Cora Bemover,
.|la province et Murray, dans son rap-
que l'on éhesrre.
| “na
Les Anglais furent fort étonnés de voir l'agricuiture si peu avancée dans
port sur le gouvernement de Québec, e me toute sa surprise. Il di: que les Canadiens, délivrés des mono- poles qui s'exéFcaient dans toutes les branches de l'administration sous le régime français, deviendraient plus soucieux de l'avenir et s'applique- raint davantage à la culture de leurs terres. Les prévisions de Murray ne tardèrent pas à se réaliser Sous l'an- cien régime. on récoltait à peine as- sez de blé pour suffire aux besoins de là population, sous le nouveau ré- gime anglais, on put en exporter en Angleterre, à Terreneuve el aux An- tilles en quantités qui allèrent tou- jo'irs en augmentant
Mème en tenait compte des pro- grès accomplis depuis 2% le dé- veluppement de agriculture eclait loin d'être en rapport avec la fertilité du sul :t de correspondre à l'étendue du terrain concédé Sur 3,855.329 acres de terre concédés' sous le régi- me français, il n'y avait encore, en 1784, que 169818 arpenls en cul- ture Le tout à
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Au moment où nos représentations nous éprouvons le besoin de dire quelques mots ici de cet événe- ment, qui prend de plus en plus d'importance chaque année dans la vie de notre oeuvre de presse franco-catholique.
Il nous plaît de souligner tout d'abord le succès vraiment extraordinaire de cette tournée artistique. Les précédentes nous avaient déja donné entiére satisfaction, mais 1927 a battu tous les anciens records. Nous nous proposions de donner à nos amis de la campagne une bonne soirée de franche gnicté dont ils gardent un souvenir durable. Sur ce point nous avons réussi au-delà méme de nos espérances. Partout le public s'est royale- ment diverti el a acclamé nos acteurs. Ceux-ci ont visité vingt- deux centres français et dans trois endroits. il a fallu jouer deux soirs de suite pour répondre au désir de la populatien.
La plupart des spectateurs étaient admis gratuitement, comme abonnés réguliers du journal: mais par ce moyen, notre liste s'est allongée de plusieurs centaines de noms nouveaux et un bon nombre des anciens abonnés en ont profité pour se mettre en règle avec l'administration. Quelques centaines de _houveaux abonnés, c'est une augmentation d'influence pour la Liberté et l'oeuvre qu'elle poursuit, c'est le meilleur profit que nous pouvions attendre. ‘
Nous tenons a en exprimer notre vive gratitude aux acteurs fu, par leur talent et leur dévouement, ont seuls reniu possible un tel résuliat. MM. Norbert Jutras, Maurice Goulet, Armand Lafleche, Louis Béliveau et Gilles Guyot, par le magnifique entrain et le zele inlassable deployés,au cours de celte tournée, ont bien servi la cause de la bonne presse. Qu'ils en soient publiquement remerciés comine ils le méritent!
Iest vrai que l'accueil sympathique et la coopération amicale qu'ils rencontraient partout rendaient ‘à nos artistes la tâche facile et agréable. Le concours empressé de MM. les curés el de lacs influents leur a été tres précieux pour l'orga- uisation et le succés de leurs soirées. Ils ont également été tres touches des attentions délicates et de la charmante hospi- talité dont ils ont été l'objet. A tous ces amis connus où incon-
uus qui on si bien reçu ses représentants, la Liberté adresse un sincere merti. |
Après avoir sillonné la province en tous sens et être demeu- rés pendant six semaines en contact intime avec nos compa-
triotes, nos jeunes amis en rapportent l'impression très nette que la population française du Manitoba gst de plus en plus atlachée à sôn journal, que la sympathie qu'elle lui témoigne se fait de plus en plus cordiale et agissante. Cette assurance rejouit profondément les directeurs de l'oeuvre. Ils y trouvent la meilleure récompense de leurs efforts pour satisfaire le public et un précieux stimulant pour se rendre de plus en plus dignes de la confiance et de l'amitié qu'on leur témoigne. \ ! } ; Donatien FREMONT.
UN ARTICLE D CALGARY HERALD
Il fait un bel éloge des Ca- nadiens français à l’occa- sion du voyage de l'Uni- versité de Montréal
éducationnel a été établi avec succès U pour répondre aux besoins spéciaux d'un peuple qui se trouve dans la si- tuation particulière de nos compatrio- tes de langue française.
Le plus grand actif de cette pro- vince-soeur, c'est la stabilité du ca- ractère de sa population. L'industrie est en sûreté dans le Québec, pour cette simple raison que les soulève- ments, lies pertes et les haines qu'oc- casionnent les grèves y sont prati- quement inconnus. Le Canadien de Québec est industrieux, patient, quand il s'agit d'obtenir un résultat: il aime son foyer et le pays qui l'a vu naître. Il n'y a nulle part de peuple qui soit plus hospitalier. Connaître le Cana- dien français rural, c'est admirer sa bonne volonté, son goût de l'écono- mie, son attachement à sa famille, sa bonté. Te
“La stabilité du tempérament du Québec est un actif de valeur pour notre Dominion. Il sert à l'avance- ment industriel et, si étrange que cela puisse paraitre pour un observa- teur superficiel au renforcement du lien britannique. Le Québec a été traité généreusement, mais aussi sa- gement à la fois, à l'époque de la conquête du Canada français et à l'époque de la Confédération. Que les Canadiens français aient possédé certains droits, c'est un fait admis en ces deux occasions, et ces droits leur ont été accordés à perpétuité De l'honneu- du drapeau britannique dé- pendent les contrats conclus À cette époque, et ces contrats sont invigla- bles Ee Canada français sait que la sainteté de ces contrats, qui ont été
9
Le ‘Calgary Herald” publiait ces jours dermiers un article de bienve- nue aux excursionnistes de l'Univer- sité de Montréal. Il en profitait pour faire une magnifique éloge des Cana- diens français, de leur mentalité, de leur esprit de justice et de leur res- pect des droits * des autres. (C'est comme le complément du disrours que prononçait le professeur Osborne à Winnipég\ L'article est À citer en entier
“Un groupe de Canadiens distin- gués et parlant français. est aujour- d'hui ke bresvenu dans Calgary compatriotes de la province de Qué- bec sont venus dans l'Ouest canadien afin de s'informer davantage de leur propre pays lis posent un exemple qui devrait. avec beaucoup de profit, être suivi par les Canadiens de lan- Eue anglaise
"S' œux-ci allaient dans le Québec ils trouveraient une province riche, possédant des ressources naturelles très variées. (C’est la plus grande des provinces canadiennes Son territoi- re est de 703,653 milles carrés (C'est presque trois fois l'Alberta Le ma- Jjestueux Saint-Laurent a été dès le commencement la principale voie de
Ces
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comraunication de la province de Qué- : conçus dans Îa meilleure tradition bec. Cette voic d'eau. ouvrant la par | par les gouvernements britanniques ‘te nord-est du contineit, se relic | et canadiens, lui garantit des droits presque directement à notre provinct et des Libertés qu'il chérit le plus. Elle perte les navires qui transpor- “D'une visite dans le Québec com-
tent la plus grande partie dy hié de l'Alberta vers les marchés du vieux continent ge détre à la tête de la navigation intéteure et océanique que Montréal doit 5021 rang d'être l'un des grands
me celle que nos amis de cette provin- ce font dans l'Ouest, peut naitre un pays dont l'attrait peut en.appeler à tous les coeurs. Les territoires culti- vés sont bordés de coquets villages que surplombent les clochers des égli- ses paroissiales Les fermes sont cul- tivées avec soin, les maisons, les loge- peinturés agréablement de blanc ou de rouge, ou blanchis à la chaux s'estompent brillamment sur le panorama verdâtre des bois envi- ronnants La vie du Québecois s'est identifiée parfaitement avec le Saint- Laurent. Comme à l'origine, il lui assurait le confort et la protection, et comme depuis récemment, il a ser- vi à lui faire prendre contact avec ses autres compatriotes et le monde exté- rieur. Il s'est produx, au cours des recentes aunées, une veritable trans-
C'est à ce doulbie avanta-
“Les principales choses ma‘érielles qui contribuent au développement et à la prospérité de Québec, sont d'a- bord son sol, ses pêcheries, se3 forêts ses mines et ses pouvoirs hydrauli- ques Le développement physique de la province de Québec se fait plus rapidement que celui de toutes les autres provinces Canadiennes
Québec a pris une avance considé- rable en ronstruisant une voirie c'e premier 6rdre En agriculture, son effort a été remarquablé au cours du deniuer quart de siècle Son système
menis,
à‘travers les paroisses françaises du Manitoba,
0
Une lettre de M. Louis Philippe Gagnon Saint-Boniface, le 23 juillet 1927.
Monsieur le directeur de la Liberté,
Avant de regagner ma tente, aux lueurs capricieuses des derniers feux des camps, j'ai repassé dans ma mé- maire les incidents de cette longue journée qui s'étend du 25 mai au 18 juillet, le 25 mai étant le prélude et le 18 juillet le dénouement d'une lutte À laquelle vous avez, autant que moi, participé.
Revivant en imagination les diver- ses phases du combat, j'évoquai la longue et belle théorie d'ämis qui me donnèrent de solides marques de con- fiance et des témoignages d'estime que je n'avais jamais osé ‘ambition- ner. Quelles preuves de ma recon- naissance, me demandais-je, pourrai- je jamais offrir en retour de ces ré- confortantes preuves d'amitié. Et puis, c'étaient les scènes mêmes du branle-bas électoral: des messagers porteurs de bonnes nouvelles ou des prophètes de malheur: l'effort conti- nu des calmes tacticiens et les exhor- tations des bhouillants tirailleurs: le rapport des expéditions de reconnais- sance, l'attitude absorbée de ceux qui, penchés sur des listes de noms, en dégagent à peu près autant de symp- tômes de défaite que de signes de vic- toire, Un moment de calme, parfois, vient traverser l'agitation fébrile du comité, mais pas pour longtemps. Souvent les messagers semblent s'être donné le mot pour tuer l'espoir au coeur du candidat, comme res esta- fettes des drames de Shakespeare qui volent en succession au rès des héros pour leur annoncer que leur destin se précipite.
IH est des moments dans ces luttes où tout semble crouler autour de vous et où le sol lui-même semble se déro- ber sous vos pieds. Mais par contre, quelle, ivresse de sentir, la minute d'après, la victoire ailée vous précé- der et vous entrainer, comme malgré vous, vers le but. «Les attaques des adversaires, les unes ouvertes, les au- tres sourdes, qui exaltent au lieu de décourager, et votre détermination, qui s’intensifie avec chaque nouveau coup que vous parez.
Vous ne trouverez rien d'étonnant, Monsieur le directeur, à ce que vous ayez eu votre place dans cette évo- cation rapide. Vous êtes pénétré au fort de la mélée pour y jouer un rôle qui ïe fut pas négligeable. Vous en aviez contre les libéraux et pour une raison qui était bien loin d'avoir la même force qu'il y a six mois. Vous n'auriez pas mis plus de vigueur dans vos attaques, s'il avait été avéré que les libéraux méditaient de mettre en oeuvre des engins de persécution in- connus jusqu'ici. Et cependant, Mon- sieur le directeur, loin d'y avoir péril en la demeure, il y avait assurément plusieurs signes prometteurs. Le journal que vous dirigez n'ayant ja- mais adopté, dans le passé, une atti- tude électorale aussi tranchée, l'on était justifiable de se demander s'il n'y avait pas une rancune person- nelle là-dessous.
Vous visiez à un résultat, et pour vous dire que vous l'avez atteint, je ne veux prendre à témoin que ce bra- ve électeur qui me dit un jour: ‘J'ai toujours été libéral et j'aimerais bien vous donner mon vote, mais je veux être franc et je crois que je vais sui- vre le mot d'ordre de la Liberté. C'est un journal religieux que je respecte et que je m'abstiens de discuter au- tant que possible." D'autres propos de cette nature ont été tenus à mon sujet. Votre influence s'est fait sen- tir, e1 raison du prestige qui s'atta- che à un organe reiigieux, et je vous concède bien volontiers d'avoir été l'artisan de ma défaite. Ayez cette satisfaction. ,
D'autre part, j'ai eu la satisfaction d'entendre son honneur le juge Roy déclarer, au sujet de 38 bulletins: “ls manifestent l'intention évidente des électeurs qui les ait marqués de voter pour Gagnon, mais je dois les rejeter pour me conformer à la lettre de la loi’. Et veici qu'en plus de ln “victoire morale” traditionnelle, j'ri conscience d'avoir remporté la nw- jorité populaire. Un texte de loi dé- fectueux m'en a privé
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83
rités dans les milieux anglais, Alors, pourquoi ce coup de dent? Permet- tez-moi de vous dire qu'un tel pro- cédé est indigne du caractère de vo- tre journal.
Entre autres choses à relever dans cet article du 6, la déclaration qu'au Manitoba les ‘programmes des difré- rents partis provinciaux sont prati- quement les mêmes” et qu'il ne s'agit que de décider entre les hommes. En- core une fois, s'il en est ainsi, pour- quoi établir deux normes différentes et houspiller les libéraux? Peut-être pouvez-vous concilier ces variantes d'opinion; pour ma part, je n'y vois qu'inconséquence et contradiction.
Vous dites bien aussi que ‘‘de plus en plus, les électeurs votent d'une fa- çon plus indépendante -—- et plus in- telligente"”.
Ce que je sais, et vous le savez comme moi, c'est qu'au lieu de 8 dé- putés indépcndants que comptait la dernière législi.ure, la présente n'en comptera qu'un,'ce qui donse un dé- menti formel à votre asseïtion. A moins que vous acceptiez comm: ‘In indice certain des progrès de l'indé- pendance politique et de l'intelligen- ce des électeurs le fait que les con- servateurs ont doublé leur effectif. 11 faut tout de même avoir égard au
sens des mots.et aux exigences de la |
logique la plus élémentaire.
Vous nous aves fait une lutte Apre qui est difficilement conciliable avec la sérénité que l'on attend d'un esprit libre et impartial; cette lutte, vous l'avez poursuivie après le scrutin, et vous avez couronné votre thèse par quelques conclusions gratuites, fruit de votre parti pris, et d'une observa- tion superficielle. La Liberté est ain- si devenue, grâce à votre zèle, une feuille politique. Vous ne pouvez donc pas désormais vous atteñdre à ce que nous ayons des égards parti- culiers pour un journal qui fait des professions de foi auxquelles il ne se conforme pas.
Loin d'être abattus par un premier échec, constatant que la déroute à Ja- quelle vous nous aviez voués ne s'est pas produite, mais qu'au contraire la bataille que nous avons livrée dans des circonstances défavorables no a haussés dans l'estime publique, nous allons continuer notre action politi- que. Si vous continuez la vôtre, nous -n'‘a#ons pas besoin de vous dire que vous vous exposez à nous trouver sur votre chemin, ayant le souci d'être justes, mais peu disposés à Ja dou- ceur. Et puisque vous avez consenti à vous dépouiller vous-même de cer- taine immunité qui était concédée jusqu'ici au directeur de la Liberté, vous auriez tort dorénavant de vous en prévaloir.
Je vous prie, Monsieur le direc- teur, d'accorder l'hospitalité de votre journal à cette lettre, et de croire à ‘mon dévouement.
Louis-Philippe GAGNON.
M. Louis-Philippe Gagnon éprouve le besoin de dire son fait, encore une fois, au directeur de la Liberté. Le ton de sa lettre indique assez qu'il est encore sous l'influence de la fièvre électorale.
Laissons de côté les trois premiers paragraphes qui sont les meilleurs, mais relèvent de la littérature pure pour en venir à l'essentiel, c'est-à- dire aux accusations formelles.
M. Gagnon me reproche d'être ‘'pé- nétré au fort de la mêlée pour y| jouer un rôle qui ne fut pas négligea- ble”, et il me ‘concède bien volon- tiers d'avoir été l'artisan de sa dé- faite”.
{ Voilà un certificat que je n'aurais jamais eu l'audace de solliciter. C'est un bel hommage rendu à l'influence de notre journal, mais je ne suis pas assez sot pour m'en attribuer tout le mérite personnel L'opposition faite aux libéraux par la Liberté n'a pas été un coup de théâtre sensationnel. Elle n'a soulevé le scandale que dans le camp de M. Gaghon et de ses amis Partout ailleurs 06n l'a trouvée la seule attitude digne, logique, con-
forme à notre programme de journal J'avouectoutefois -que”éette satis-l cazadien-français indépendant.
ri. à
veillance et “parti pris,
Le candidat libéral de Saint-Boni-
face se félicite d'avoir ‘‘remporté la
majorité populaire et d'avoir obtenu
au premier tour, dans les polls cana- diens-français, une majorité sur cha- cun de ses adversaires”. Cependant tous ceux qui #avent compter peu- vent voir que pour 1,029 voix libéra- les dans ces polis français, il y en a eu 1,394 nettement antilibérales au premier tour.
M. Gagnon excelle À isoler une phrase de son contexte pour essayer d'en détourner le sens. J| s'indigne de ce que j'aie osé écrire: ‘‘’Le candi- dat libéral l'emporte finalement par une voix, mais il ne faut pas perdre de vue que la circonscription électo- rale de Saint-Boniface est aux deux tiers anglaise”. Rapproché @Æ celui qui le précède, ce paragraphe de mon
article ne peut vouloir insinuer que
M. Gagnon doit son succès au vote anglais; il note simplement — et à propos il me semble — que Saint-Bo- niface ne doit pas être considéré com- me un comté à majorité canadienne- ‘“ançaise.
-:‘te autre ci'ation: ‘De plus en plus, les (‘ “teurs votent d'une façon
plus indépe dante — et plus intelli-
gente’ gagne aussi beaucoup à ne pas être détachée du’ premier mem- bre de la phrase: “Les partis politi- ques n'exercent plus sur la masse leur sujétion tyrannique d'autrefois”.
Voter d'une façon indépendante et intelligente ne consiste pas forcément À élire des députés qui se parent de l'étiquette d'‘‘indépendants'”. A quoi, sert de jouer sur les mots? L'élec- teur indépendant est celui qui rai- sonne et ne se croit pas tenu de rester bleu ou rouge à perpétuité sans sa- voir pourquoi. Les Canadiens fran- çais du Manitoba, en grande majorité libéraux, ont preuvé leur indépen- dance et leur intelligence en tournant le dos au parti libéral provincial dont ils n'ont pas eu à se louer dans le passé et qui ne leur offrait aucune ga- rantie sérieuse pour l'avenir.
M. Gagnon constate que la bataille qu'il a livrée, lui et ses amis, les x ‘haussés dans l'estime publique”. Puissè-t-11 garder longtemps cette douce 1llusio'!
D. F. —— 202 ———— L’excursion de l’Université de Montréal
L'excursion de l'Université de Montréal est passée en gare de Win- nipeg mardi matin, revenant d'Ed- monton et de la côte du Pacifique. Nos compatriotes étaient tous en- chantés de leur visite de l'Ouest qui leur a réservé tant d'agréabies sur- prises. La dernière partié du voyage se fait par les grands lacs.
—— pt 0" Payement intérimaire de la Coopérative de Blé
Les Coopératives de Blé des trois provinces de l'Ouest ont fait lundi un payement intérimaire de 20 sous par minot pour tous les grades de blé Du- rum, de 15 sous pour tous les grades de blé de printemps jusqu'au No 5 inclusivement et de 19 sous pour tous les grades No 6. La somme totale payée s'élève à plus de $27,000,000, se répartissant comme suit par pro- vinces: Maïitoba, $2,696,700, Saskat- chèwan, $17,825,000, Alberta, $6,500,- 000.
Le payement initial pour la nou- velle récolte se fera sur la base de $1.00 le minot à Fort William pour le Nord No 1
——— 140 -2——
Premier caucus des progres- sistes manitobains
Le premier ministre Bracken a con- voqué le premier caucus de son parti pour le 12 août. On y discutera la question d'une session spéciale. MM. Bracken et Major seront alors de re: tour de leur voyage de l'Est et pour- ront faire un rapport provisoire sur leur étude des différents régimes de ventes de liqueurs,
Mais M. Gagnon n'a vu Ja que maf.
des régions de l'Ouest, et nous ne
‘| dos.
pouvons qu'y applaudir, car nous es- Pérons que ce nouveau poste français sera le trait d'union entre la France et les Canadiens français de l'Offbst.
‘Nous croyons savoir que le Consulat
de l'Ouest canadien est indépendant du Consulat général de Montréal et est en rapport direct avec l'adminis- tration centrale à Paris.
Le fait que le gouvernement fran- çais a envoyé M. Suzor le représen- ter aux fêtes du Père Lacombe à Saint-Albert, puis à celles du monu- ment Hugonard à Lebret, est pour nous la preuve que nos espoirs sont fondés et nous en avons été particuliè- rement touchés. De son côté, le Con- sui de France, dans les discours qu'il a prononcés à Saint-Albert et à Le- bret, nous a dit la joie et l'émotion qu'il a ressentis de notre accueil. Il a pu s'entretenir avec Mgr Mathieu, Mgr Prud'homme, avec les principaux chefs et directeurs de nos établisse- ments et maisons catholiques et il a teau à recevoir des mains du vénéra- ble Mgr Grouard, la Croix de la Lé- gion d'Honneur, qui lui a été décernée voici plus de deux ans.
M. Suzor a été également reçu par nos Associations canadiennes-françai- ses de Ja Prairie. Il à eu l'occasion de leur adresser la parole à plusieurs reprises et chaque fois le représentant de la France dans l'Ouest a fait preu- ve d’une grande délicatesse el d'un attachement très louable aux problè- mes de notre Survivance. Nous féli- citons ici M. P. Suzor de la largeur de vues dont il fait preuve et de la compréhension très nette qu'il a de nos intérêts français. L'en féliciter c'est du même coup le remercier de l'aide efficace qu'il nous est en nous faisant bénéficier du prestige de sa haute personnalité. :
Dans notre Ouest, qui commente à avoir un passé, nous aurons encore de multiples occasions de manifester en l'honneur de pionniers, ou de célé- brer par une fête un peu plus solen- nelle quelque étape de notre survi- vance, Ce sera là autuant d'occasions
| d'inviter l'honorable Consul de Fran-
ce à y participer activement. Nous lui témoignerons ainsi notre haute estime alors qu'en retour il nous sera un apport considérable en représen- tant si dignement la noble France.
Rien à faire sans la province de Québec
Le Progrès du Saguenay (Eugène L'Heureux ) :
En nous intéressant au sort du parti conservateur, la chose qui nous frappe davantage, c'est cette tendan- ce qu'ont toujours les conservateurs, depuis quelques années, à donner leur confiance à des gens que la province de Québec ne peut pas ‘avaler.
Dans le moment, c'est Ferguson qui semble avoir le plus de chance d'être choisi comme chef conserva- teur par la convention de Winnipeg. Eh! bien, Ferguson chef 'conserva- teur, cela signifie que le parti con- servateur devra compter avoir cons- tamment la province de Québec à Les conservateurs ont pourtant payé assez cher cette expérience de l'impossibilité de gouverner sans Québec, pour ne pas désirer la tenter de nouveau.
Et Québec a raison de ne pas vou- loir de Ferguson. On dira sans doute avec dépit que Québec a des préju- gés coûtre Ferguson. Cette tactique est de vieille date. Pardon! ce ne
sont pas des préjugés, mais des ‘‘rai- |.
sons” que notre province, mère en quelque sorte des minorités françai- ses au Canada, a pour faire échec à Ferguson. Le peuple, pour évaluer d'avance l'oeuvre des hommes d'Ftat, n'a pas d'autre moyen à prendre que d'examiner leur passé. Or, le passé de Ferguson, auteur du Règlement XVII, répugne totalement à la pro- vince de Québec.
Si on procède par élimination pour choisir le chef conservateur, Fergu- son doit être le premier mis de côté. D'ailleurs, quelle envergure spéciale a ce bonhomme pour compenser les montagnes de défiances accumulées contre lui avec raison? j ’
Si le parti conservateur veut re- prendre le pouvoir et le garder plys de vingt-quatre heures, il devra d'a- bord commencer par gagner un peu les sympathies du Québec, résultat
vivent pas d'ordinaire aussi temps. 11 habitait une petite vil la province voisine et y écrivait articles souvent cités-à-l'e A peine quelques heures avan mort, {1 jeta sur le papier, d'une défaillante, ce dornier article que blia son journal: | “Je suis sur un lit de malade! milieu de gens qui m'étaient iné nus il y a une semaine. Mon ent rage et mes ponsées sont du ni Toutes sortes d'idées me vienneti, l'esprit, au moment où j'écris cet : ticle, qui sera le dernier. Jusqu' je r'ai pensé qu'aux affaires ter... relles, je n'ai traité que dé süjets litiques: politique municipale, prot ciale, fédérale. Me voici én face! l'éternité. Toutes ces préoccupath
sont abolies, je ne pense plus ceci: “A quoi sert tout cela en f|
de l'éternité?" et le thème qui st mon esprit, c'est celül de l'étern Si, dans le passé, mes articles ont vous faire quelque bien, més lecteurs, vous apporter un tant peu de bonheur, je prie Dieu en face de qui je bientôt, que ce dernier message aide à mourir heureusement et à assurer une éternité de bonheur.” L'approche de la mort, on le n'a pas effrayé ce vétéran; il n honnêtement de sa plume et s'en allé, la déposant tout juste pour dre ses mains dans un dernier. de prière.
!
D'OU VIENNE NOS IMMIG
L'Angleterre est au mier rang, puis l'E l'Ukraine et |’ — La Belgique en _…
Ottawa — Il y & un mouv d'immigration qui se développe © sidérablement entre la Belgique Canada. Depuis deux mois 1,175 ges sont venus s'établir en notre Ce nombre n'est pas considé on le compare à l'immigration d' gleterre et de l'Europe con mais c'est néanmoins une amélio tion sur les statistiques anté
Quant à l'immigration de la À ce, elle nous donne peu de nouve# citoyens, seulement 267 en deux mt
Les Allemands reprennent la du Canada, et en avril et mai, if est venu 4,537, nombre le plus coË dérable depuis la guerre. Autrichig 299; Italiens, 729; Polonais, 38 Ruthènes, 4,868; Russes, 408.
Pas ua seul nouveau Chinois n' entré au pays, mais la colonie ja] naise a augmenté sa 134, au grand déplaisir des blañcs la Colombie-Britannique.
11 y a actuellement 48 races ay ses qui envoient des immigrants Canada, quelques-unes en très nombre. Ainsi l'on constate que | puis deux mois il n'est entré au pé que 18 Nègres, 8 msg LP me T Kspagnols, 3 Turcs, 2 Fersans, 4 Pohémiens, & Argent 30 Bulgares, 1 Portugais et 7 Suis C'est l'Angleterre qui fournit le ÿ gros groupe, puis vient l'Ecosée. | groupe ruthène est le troisième en LI portance et celui de l'Allemagne {
2.
cupe la quatrièmc place, 4 _—__— 1Î
Mort de deux évêqu } français ME
Paris - Mgr Humbrecht, arche
qye de Besançon, et Mgr Monni évéque de Troyes, sont décédéé jours derniers. Le KR. P. Ubald d’ çon, historien religieux remarquat est également mort ces jours-cf,"* A D ———— RAINY HIVER,
{ut
ont.
Eourgrois ci sa petitc fille, âgée 8 ans, ont éLé Lués à un niveau. Le train a frappé un camf
“
automobile da:s lequel ils se vaient. = ——
OTTAWA -- Le Canada ne pas d'argent, car il y a #177,005,914 en circulation, La serve d'or dans le trésor fédéral de $105,700, 181, }
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Lançaient des regards vifs et Que n'ai-je pour le voir mes
Ft cela vous fait rire un peu. Mais qu'importe ?
Ne nous plaignons pas trop,
Je ne veux pas penser À mes
jl va de tous côtés, sans bien Ainsi ferais-je avex
S'U était toujours jeune Moins longueimnt fixé sur ta «
Ne regrettons donc plus mes
SOIGNONS BIEN
© NOS MALAD
Le médecin ordonne les” médica- ments, c'est vous, infirmière, qui les administrerez au malade. Et votre rôle, d'une grande importance, n'est pas toujours facile. 11 exige de vous beaucoup dé qualités ordre, régula- rité, métfnoire, organisation, douceur fermété et quelque ingéniosité
L'ordre: flacons, cachets, etc, dot- vent avoir une place telle que vous les trouviez sans hésiter, pour ainsi dite les yeux fertnés Sinon, les reurs sont possibles et certaines er- reurs entraîner de graves
Oui en 8 vu de mæ-
er-
peuvent complications
telles
Regularite ni ca;rice, ni sèle mnla- l'adnintetration des médi-
heures füiiquées, ni
droit dun:
cainents aux plus ni anvius Mémoire
vous
Ayez lu tête à ce que et vous n'oublières pas heure de la potion ou de ia piqûre servir régulurité et inéimoire un tableau des soins À donner
faites
Pour
faites et de sultez
leurs heures 1espectives, Con- souvent ce tableau, ce qui vous einpéchera de somnoler sur un livre ou de vous absorber € itièrement dans travail de crochet, de tricot confection de ce tableau exigera un
certain esprit d'organisation
un La
il est
quelquefois difficile de faire succédet |
de l'un nuise à l'aytre
nombreux Suins divers, sans que le aussi l'heu
de la
sans fatiguer inulude faut calculer
re des crises, des accès de fièvre
digestion, etc Avec beaucoup de ré- flexion et de borme volonté, vous ar- rivetez à équihbrer l'échelle des mé dicuments Mais, dans les Cus com pliqués, consultez Votre médecin et redoublez d'attention
Agissez uvec Une grande douceur dans l'adininistration de tous les né dicaments, en particulier des plus pé- nibles Lun de les présenter d'un air revêche ou ennuyé, faites-vous
souriante aimable bienveillante, «a
ayez toujours l'air d'offrir un bonbon
déhcieux ou une te
création churiman-
Que n'ai-je pour te voir mes bons yeux d'auttefois Cher petil! mes yeux clairs, aux pupilles bien fraiches, Qui sous l'azur du ciel, ou das l'ombre des buis
Oui certes, grâce à Dieu, f'aperçois bien encore
Et ta main potelée. et tes fins petits doigts.
Ei ton front d'innocence ét L£s cheveux d'aurore Qu'ils sont loin cependant mes bons yeux d'autrefois!
Souvent, pour mieux goûter ta J'arbore un pince-nez terriblement bourgeois,
Je suis heureux moi, car je crois Retruuver un motnent mes bons yeux d'autrefois.
Acceptofs sans gémir les éternelles lois: L'homme ne devient vieux qu'en devenan
T'eussent-ils regardé de si tendre manière ? La jeunesse est volage, et son regard sournois Fait, en affection, l'école buissonnh re
mes Lons yeux d'autrefois
Aujourd'hui 07 regard ne court plus l'aventure il resterait,
E BRODERIE
’ A MON PETIT-FILS.
prompts comme des fiches _ bons yeux suce :
grâce enchanteresse,
petite pièce’
pourtant! . En toute chose mivwrose
yeux d'adi@fois'
fixer son choix
crois, hère figure bons yeux d'autrefois"
Jacques NORMAND
7
lt Serburz surtout toute inquiétude
| de. {otre dés réflexions pessimistes où tristes: ua malade est si sensible aux moin-
| dres impressions il devine votre pen- sée et a l'oue si fine’
Mais que cette douceur s accompa- | gne d'une grande fermeté pour oble- nir du malade toute obéissance dans J'exécution des ordonnances du doc- teur S'il éprouve quelque difficulté physique à absorber où à se rerauer, etc, nidez le avec grande patience et habileté, mais ne supportez, pas qu'il repousse VOs-s0ins quand ceux-ci sont nécessaires. Ici, arriver Î
votre rôle devient délicat: pour à rebelle de ses dégoûts, de sa ner vüsité, il vous
bout d'un malade
faudra souvent beaucoup d'ingénio- sité d'intelligence Vous saurez que Lel remède répugnant peut senrober
d'imagination
dans tel sirop qui en
dissimulera l'amertuine, que, duns le cas de malade, telle Ce corps le soulage pendant le 11as-
sage, que sa respiration est meilleure
votre position
| vous culière, etc En un
l'asseyez dune facon parti
mot, ne négligez aucun un adou- charité truuvèera
C'est sur-
moyen qui puisse apporter à ses souffrances
ingénieuse et
cisseinent qui mille moyens de s'exercer
sera qui tout auprès des malades difticiles que vous devrez faire appel à tout votre dévouement, vous rappelant
mission d'infirmière ne
que vo- | tre se borne
pas seulement aux soins
mais qu'elle peut être toute bienfai-
| sante et guérisseuse par votre ii |fluente morale, votre affection, la | confiance que vous inspirez Je suis | | convaincue que vous ne négligerez {ren de ce qui peut hâter le rétablis {sement de votre malade et que vous lempécherez de faire des imprudenu
les Vous devrez faire hiieux encore |ranimer sa volonté de guérir soute- hair et auzmenter 5e: espoir l'aider
à supporter ses SOUfrance: ‘Faites
lui, sil peut les supporter, quelques
lectures. Iméêine frivoles, pourvu qu'el
les ne soient pas évidement mau
| vaises placez des fleurs suus son re- {gard «ontez-lui des faits qui peuvent Lx
lintéresser Lesprit a nn detre
L'a « de e Re: suelle
je broderte et m
TAIFS WOREILLENS Nos VO17 + à et, st ÿ svvs, perture us miétt e 4e. = : - ‘ ir À ji | ‘4 rtone bieu 15.” » euus blanc et 15 eo Q : —
bis-S06n D014 bis-1083
1 » au Île aus 4x L 0 ! à SuIVa “e u UÜs'3:08Le de iv e isique à :. 5 Ie! par an
Nos chentes voudroit bien prendre nole Qu UM déisi de deux semaines au
Mvins esl Décessalire pour ia réveplio Mmande On est
é ls 61, avenue
n des patrons dont
ciles feront is com
rié d'adresser Loules les commandes au Dépariement: des Fatroms Winaipes.
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Ne vous étonnez pas que j'ale parté de votre influence morale dans cette causerie sur les médicaments. celle- là est aussi impürtante que ceux-ci pour sauver vos chers malades: après expérience, vous auréz compris Com- tien votre affection, votre tendrèsse décupleront votre dévouement, vos forces, et vous rendront ingénieuse pour soulager Ceux que vous voyez souffrir avec tant de peine’
©" 20 -0——
Toute ménagère devrait pouvoir faire de la bonne pâtisserie ordinaire Voici des causes de gaspillage
Chateur durant leur préparatiof Battre et rouler trop fort. Laisser faire le mélange avant de mettre au feu Trop de graisse Eau pas assez froide Pâtisserie tr6p humide ou che au point de #‘émietter
Pour gardep”les oeufs frais jus qu'en luver A suffit de se frotter les de beurre et den enduire oeufs ü1 par un comme il faut ave les paumes des à Flabri de ces oeufs sont aussi frus que le jour ou ils ont été pondus
Deux cuillerées à soupe de neige pure à la place d'un oeuf font des crêpes très légères et plus que les Crépes ordinaires
Si votre poéle de cuisine rouille, le brosser et frotter ensuite avec un mor-
mains les
mains, ce qui les met
l'air Trois mois après
st nette
blanche:
ceau d'orange juteuse Laisser sécher
physionomie: gardez-vous|puis miner et polir comme à l'ordi-
naire
Une petite patate pelée où trempe le céleri croquant
Une poignée de sel jetée dans l'eau où l'on nettoie le chou suffit pour en
dans l'eau rend celui-ci très
déloger toutes les chenilles.
Poar avoir des pommes de terre pilées qui soient fines et légères, a jou- ter un peu de lait chaud
Faire chauffer au fourneau les rai- «ins avant de les épépiner es sortiront beaucoup ment
Quand on ne peut faire confife les baies tout de suite après qu'on les a achetées, on les met dans
Les grai- plus facile-
un vaissau
et on les saupoudre de sucre, Ce qui
les eimpéche de moisir L'herbe hachée est
feuilles dé the
et les carpettes
RE
RECETTES
préférable aux
pour balayer les api:
Croque monsieur
Fuire de petites tartines de mie de Pain ras:sis dde la grandeur de la ravi Ue de La wain Hkeurrer les tartines
tueltre entre deux tartines une tran- et
Faire frire
«he de de
fromage pPruyere une trar che de jambon Leurte
serviette Salade cressonnière
Pic-parer
au
Servir bien chaid sur une
üuue demmi-butte de (Cres-
| son, l'assaisonner, la <ouvrir de frun-
de
LES
delles de tomates et de rondeile:; pouimsmes de terre cuites à l'eau le
les persuines -qui
Cour rit tout de sauce 1n4yONnaiSe
Four ne Craiglhent
pas l'oignon, on se troutera uen de meler au cresson deux pros Oz nons gtussierement hachés Potage au céleri-raie
Laver et cOuper en peUls MOrCEAUX du célert rave en aksez grande Quai té pour quati personn: Eplu cher et couper également des pom mes de terre Faire Cuire avec eau
sel et uu peu de muscade suivant les
guutls
au rmmment de Servir Suit Un grus liuvritau de beurre Vaicn frais nt un de creme f C A peluts Crout Bouillon parfait On prend tros lwres de ele 4. de sans &s et un la Coupe en Une Zaine de morveaux Carré ù les place dans la marnute ave À six pintes d'eau froëde. où Coud la soupe comimne un pul-alu-feu ordi Daires avec légurnes, collerette ini guardise et: au bout d'une heure et demie Y joindre un per de couen De. quand il est cuit passer luen le bouillon £U Servir aie tranches Je
pain grillé V
Propre à manipuler 7" vente dans les pharmacies, épicesies et magasins généraux. |
din ee
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ATAAII IL AJ
“ + LL ‘ n] Trx-frssère - Un conte par semaine
. 4 «
Un riche Américain avait deux neveux pauvres” Bertie et Laury.. Bértiè, qui demeurait toat pres de la villa de son on- cle, hui faisait de fréquentes vi- sites, l'aecablant d’attentions et ‘dé compliments. Laury, qui habitait assez loin et travaillait beaucoup pour, nourrir sa fa- mille, ne pouyañ venir que ra- rement. 1 était respectueux et affectüeux avec le millionnaire, mais ne Île flattait pas.
L'oncle observait la conduite des deux hommes à son égard. mais ne faisait jamiais de ré- flexions. 1H tomba malade et, se sentant près dé sa fin, fit ve- nir son notaire et Jui remit une enveloppe sur laquelle était écrit: TA ouvrir tout de suite apres ma mort” Peu apres, il expirail.
On suivit sa volonté; on ou- vrit lé testament. qui était aini- siConçü: “Je laisse ma villa et fout ce qu'elle contient à par- lager également entre mes deux neveux, à condition que tous deux soient présents à mon entsrrement, qui doit avoir dieu juste quarante-huit beures aupres ma mort. S'il ne s'en trouve qu'un, celui-là aura à lui seul la villa et tout ce qu'elle contient, sauf ma cara: bine, que je legue en souvenit à l'autre.”
Bertie, qui n'avait pas quitté son oncle pendant sa maladie, était tout prévenu; mais il n’en était pas de même de Laurvy. Le notaire lui adressa une dé- pêche, qu'il chargea un domes- tique d'aller porter au télégra- phe. Mais Bertie, prenant un chemin de traverse, se trouva
LES DEUX NEVEUX|
| Le Coin t
maitre tenta alors de l'at- tacher avet une forte corde, mais i} venait à bout de défaire les noeuds les plus serrés. «Parfois, lorsqu'il était aitisi attache. il prenait un morceau de pain destiné à sa nourriture dans une de ses mains, et le tendait avec des mines si enga- geantes aux petits poulels et aux petits canards, que ceux-ci se laissaient tehter, mais dès qu'ils étaient tout près, le four- be les saisissait avec son autre main et les dévorait.
It aimait aussi beaucoup 1e lait; on le vit plusieurs fois en saisir un pot tout plein qu'il emportait pour le boire en ca- chette; il tenait le pot avec la plus grande adresse et sans ré- pandre une seule goutte de lait. Quant à la crème, il en était tellement friand, qu'on ne pou- vait en laisser à sa portée sous peine de la voir disparaître ins- tantanément; après quoi, l'ani- mal allait et venait autour du récipient vide, affectant un air de profonde indifférence.
- 22m —
Le désordre
Une jeune demoiselle nomn- meée Subine occupait une cham- bre fort jolie et très élégam- ment meublée, mais qui néan- moins présentait un aspect fort désagréable à cause du désor- dre qui y régnait. Toutes les exhortations de sa mère pour l'engager à la ranger avec soin
sur le passage du domestique. let propreté ne pouvaient enga-
qu'il réussit à corrompre en lui offrant une grosse somme d’ar- gent. pour qu'il n'envoyät la dépèche que le lendemain.
Laurv, naturellement, arriva trop tard ct ne réçut que la ca- rabine. Bertie rit possession {de Ja villa; il pensait trouver beaucoup d'argent dans quel- que meuble, mais il n'y avait pas un centime. Cependant {Laury, rentré éhez lui. accro- cha la carabine à un clou: le clou céda et la earabine tomba tourdement à ‘terre; la crosse s'ouvrit subitiéft en deu, {laissant échapper des liasses de {valeurs et un billet portant ces
mots: “Si Laury n'est pas pré- sent à mon enterrement, c'est que son cousin l'en aura empé- fehe Alors je Taisse à Laury {tout seul ma caralune et son contenu." Le contenu s'élevait à plus de deux millions.
On devine la rage de Bertie, qui fut ainsi justement puni de sa cupudité. L'affection de Lau- ry paur son oncle, aussi sincère lque discrète, obtenait su ré- \ compense.
2 $ eme-e -—
| A propos de singes | Rs
Aux Indes, dans la région de Madras, il Ÿ a une quantité con- sidérable de singes.
Entre les deux stations de chemin de fer de Niddiomida et de Herebuliz se trouve un temple paien qu'ils ont pris {pour lieu de réunion, et loc- ‘cupation principale de ces ani- maux est de S'amuser à détrui- re la ligne du chemin de fer. Is se partagent en deux ban- des, se placent svstématique- ment. la moitié d'un côté du ichemin de fer, la moitie de l'au- tre, etoils se mettent à retirer la terre des deux côtés des rails.
Ils restent à faire ce
l ! | Il
travail
Passer en purée et ajouter! jusqu'au moment où passe Île
itrain; alors ils se retirent pru- demiment de côté et recommen- cent leur travail de démolition des que le train x passé.
Un jour, comime la Jocomo- approchait, les singes | loispercnt comme à l'ordi- | mais il v en eut un qui voulut rester sur la ligne. Lors que a machine fut tout 4 fat
i
nalre.
pres. cinq où six des singes danger s'uvance- reut cn courant eî le saisirent, qui par la queue, qui par les jambes, et parvinrent ainsi à le tirer hors du danger.
| Un Européen avait capturé
\osunt son
| | Ï un de ces singes tout jeune el l'avait tres bien apprivoisé, mais le petit animal lui jouait louis sorts de tours.
HO simait enormement les vents et en Volait chaque fois
qu” pouvait. Suu maitre S'en etant aper çu avait pris l'habitude de
{latta-her quand il etait oblige de S'absenter et de laisser Île singe seul à la maison, mais il s'arrangouit toujours pour ou- vair des ahneaux dd sa chaine etai couruit droit au poulailler. I chassait les poules et avalait tous les oeufs qu'il trouvait, apres les avoir habilement cas-
ES ER
ger Sabine à se corriger de sa négligence.
Un dimanche après-midi, la jeune personne venait d'ache- ver sa loilette et voulait sortir, lorsqu'au même instant la fille du voisin vint lui apporter une corbeille remplie de grosses ce- rises. Comme la table, la com- mode et tous les meubles s - trouvaient encombrés de vête- ments et d’autres objets jetés pêle-mèle, Sabine plaça provi- soirement la corbeille sur un fanteuil recouvert d'une étofre de soie bleue, puis elle alla se promener avec sa mére dans le villagé voisin.
Le soir Sabine rentra dans sa chambre; étant bien fati- guée, elle courut s'asseoir dans le fauteuil, elle venait de s'as- seoir précisément sur la cor beilie remplie de cerises.
A ce cri, la mère accourut,
perçut-elie? Les cerises étaient écrasées; leur jus abondant ct noir coulait du beau fauteuil sur le parquet, et la robe neu- ve de Sabine, une robe de soie
!
+
uné lumière à la main: et qu'a-|,
| |
|
saisit, mon chien fidèle n'avait pas été ma petite soeur serait morte au- pourd'hui. Louise SHERWOOD Saint-Norbert (grade 111).
AMUSONS-NOUS
L'avocat et le singe
On choisit l'avocat parmi les | joueurs les plus bavards et on! lui jette. sur les éapules, un manteau sans manches, de fa- çon à ce qu'il puisse avoir Îles bras derrière le dos sans que cela se voie.
Derrière lui se place le singe qui doit se courber, s'asseoir, ou se mettre à genotix_ de telle façon que l’ayoéat le cache en- tiérement au public. Le singe passe Ses deux bras sous ceux de l'avocat de manière à ce que ses mains, sortant du manteau, aient l'air d’appartenir audit avocat. Celui-ci commence sa pluidoierie. 11 improvise ce qui ui semble devoir amuser l’au- ditoire : défense du chien qui a volé la côtelette, accusation de la cuisinière qui laisse toujours son buffet ouvert, plaidoirie pour ou contre le petit frère qui a cassé le sucrier en volant
u sucre, homélie aux parents pour avoir un jour de congé, etc...
Pendant que l'avocat parle,
che le front inspiré de l'avocat lui gratte l'oreille, le mouche, lui frappe l'estomac, fait enfin tous les gestes propres à umu- sr l'auditoire.
Ce jeu, mené avec entrain, »st extrêmement drôle et amu sant.
——— 2 s-2— ——
Physique amusante
[le singe fait des gestes: il “at
couleur de rose, se trouvait! Comment faire monter dans un
tellement gâtée, qu'elle ne pou- vait plus jamais servir.
La mère fit à sa fille une sé- vére réprimande, et fui dit en- tre autres choses: “Tu vois maintenant combien il est né- cessaire de ranger sa chambre et de mettre chaque chose à sa place. Te voilà cruellement punie de ta désobéissance et de tes habitudes. Puisses-tu rete- nir celte sentence :
St l'ordre le plus grand ne re- gne en vos affaires,
Des pertes en seront les suites necessaires.
em + —
| Points délicats d'étiquette \
Ne permettez jamais à votre couteau et votre fourchette de frapper votre assiette. Dépo- sez-les doucement. ;
Ne buvez jamais sans, pre- uuicrement, vous essuver la bouche avec votre serviette.
Ne tenez jamais Votre cuille- Îre comme si elle était un paru- pluie où un bâton quelconque
Ne machez pas votre manger la bouche ouverte.
Ne mettez jamais votre cou- teau et votre fourchette sur la
table. Laissez-les dans votre assiette Ne “mangez” jamais votre
the ou cafe uvec votre cuillerée. Ne laissez jamais votre cuil- lére dans votre tasse lorsque vous en buvez. Posez-la dans la petite assiette à côté de votre fasse. Ne “respirez” jamais votre soupe. Ne posez jamais vos coudes sur la table. demandez
Ne deuxieme assiette de soupe.
jumais une Ne beurrez jamais tout un morceau dé pain. BrisezYe én
petits morceuux ct incttiz Île beurre au fur «1 a miusure que vous le mangez |
Ne touchez jamais une pa tate avec vôtre couteau. Ser- vez-vous de votre fourchette,
D
|
| \ 1
|
verre renversé l'eau contenue dans une assiette
Pour exécuter cette expé- rience, prendre une assiette creuse à moitié remplie d’eau. Enflammer un papier et le je- ter dans un verre qu'on retour- ne aussitôt, et plonger le verre dans l’eau. Par Ja combustion du papier, l'air s'est échauffé, il se contracte ensuile par re- froidissement et la pression at- mosphérique pesant sur le li- quide de l'assiette fait monter l'eau dans le verre.
On réussira cette expérience mieux encore si l'on x posé le
apier enflaininé sur uu petit
otteur de liège, et si l'on a coiffé ensuite le tout avec le verre, la combustion est mieux assurée.
——— 2m — — —
- Jean, mon mignon, va me chercher une assiette et je te donnerai un gâteau.
.Jéan a apporté deux assiet- tes.
RÉ ES RER EEE
‘vous
lu vu le bonhomme Noël-ésite
D ras Von l'ari PT an -—- Non, je ne i
pere qu'il faisait trop
mais j'ai bien entendu
a dit, lorsqu'il s'est fr:
pied sur Île fauteuil.
!
Un maitre, s'adressant à son
ne : ME Joseph, allez vite me cher-
cher une voiture: prenez la
preînière que vous rencontre-
rez.
Bien, monsieur! dit Joseph qui dégringole l'escalier quatre à quatre et revient au bout de quelques minutes, pâle, inquiet,
bouleversé.
Sans remarquer son trouble,
le maître demande :
La voiture est en bas?
Oh! mon, monsieur, je n'aurais jamais 086... Osé quoi? reprend son maitre. |
La première voiture que j'ai rencontré, c'était un cor- billard !..
domestiqu
Huitième dimanche après Pentecôte
(8. Luc, XVI, 1-8)
En ce temps-là, Jésus dit à ses dis- ciples: Un homme riche avait un éco- nome qui fut accusé devant lui d'avoir dissipé son bien, 11 le fit venir et lui dit: Qu'est-ce que j'entends dire ds vous? Rendez-moi compte de votre administration, car je ne veux plis désormais que vous gouverniez mon bien. Alors l'économe dit en lui-1é- me: Que ferai-je, puisque mon maître m'ôte l'administration de son bien? Je ne puis cultiver la terre, et j'au- rais hontè Ge mendier. Je sais ce que je ferai, afin que, quand on m'au- ra privé de mon emploi, je trouve des gens qui me reçoivent chez eux. Il fit donc venir l'un après l'autre tous les débiteurs de son maitre, et ii dit au premier: Que devez-vous à mon maitre? Cent barils d'huile, répon- dit celui-ci L'économe lui dit: Te- nez, voilà votre obligation, asseyez- vous vite, et faites-en une de cin- quante. Il dit ensuite à ün autre: Et vous, que devei-vous? Celui-ci lui répondit: Cent mesures de froment. Tenez, lui dit-it, voilà votre billet, fuitesen un de quatre-vingts. Le maitre loua cet économe infidèle de ce qu'il avait agi en homme inteili- gent, car les enfants du siècle sont plus habiles dans la conduite de leurs affaires que les enfants de lumière. Et moi, ajouta Jésus, je vous dis aus- si: Employez les richesses d'iniquité à vous gagner des amis, afin que, quand vous viendrez à manquer, ils reçoivent dans les demeures éternelles.
2 pe D Calendrier de la setnaine Jeudi 28 juillet — S8.-Nasaire e
Celse Vendredi 29 — fite L Samedi 30 — #8. Abdon et Sen
non Dimanche 31 — Huftième après la
Pentecôte. Sol de Ste Anne.
Lundi ler août S. Pierre aux
Liens.
Mardi 2 — 8. Alphonse-M de Li- guori.
Mercredi 3 ne.
lavention de 8. Etien- st
‘Départs fréquents entre à
le CANADA et l'EUROPE
MONTREAL — QUEBEC
et
CHERBOURG, SOUTHAMPTON, ANVERS HAMBOURG, BELFAST, GLAGGOW, LIVERPOOL
1927 -- Croisières d'Hiver -- 1928
Autour du monde Les Antl'es
Méditerranée
Amirique du Sud et l'Afrique
Toute information concernant les dates de départ, brix, excursions,
etc.
sera dounée sur demanée par
W.-C. CASEY,
Edifice du Pacifique Canadien
Angie Portage et Main, Wianipeg
Sante
4e. 6 me
js © nés ei 00 0 CR D RE de D 0 EN An - 0-0"
. ln prière et Tes) “gi notre langue et mate sace sur umiment notre vie | ssuent dune l'Ouest vous en Es me 2 consécration mn Se | astien nrphnhalen ox le président régional | jupes LA C 1C- Apm
D D'heures Semen manttuhaie à Eure pacte & FA €
S SJ. our ln Trés 3 C I constate auec peine qu'uxe
RS Avant de éugner son trop sumèreuse jeunesse reste im RE 2 pq en dem éme Poe mme pur de Mn parsion, M l'abbé Mos- lee ancétren Dévelugges le esuné
@rininé Le Père. Le Verbe et Le Saint jun de continuer [ueuure des 20rS- upon. et ces trois permenes sm ns Que TA C 3 © sagoique me-
(L jeun jours de plus en plus à dévelugger ne
1 L
Re, ee
gourde, vous avez chaud où vous avez fou, Le sang vous
moste à ln tfte, peu après vous devenez pâle. vous vous
œentez fmbbr et le cœur se met à bemse En plhes, votre
digestion ne se fsù pas et vous êtes nerveuse. Bnyaqe Mauss, avez-vous essayé de prendre des
PILULES ROUGES
C'est pourtant le remède qu vous consent paru qu'i agua sur votre sang. le punfera et stmulera toutes les fonc- tons de votre organisme. Prenez des Pilules Rouges comme Ta fait Mme Onde Labberté Elle leur atnbue ln santé dent elle put. Es € “Le retour de l'age s'annemçe chez sui . par ane dminatue de mes ccces et Wa tes surtes de malus Ja même dt me metwreau Lt pour un certain temps Pen dant ut un hiver je n'ai pu me aus que d'un pen de lat tant j'arus leu mac malade Ace rigme ms cœmttz tue e'aflublt cœmmikrablment et je &e- vies encanvement nerveuse [Deux mé- decins que j'aumss cumulés sauens clsré qu'il état image de ze œuter : J'ai slurs écrit sn méderm de ls Cumge- | mor sm Cétat smai un quan E n'eœntque des encouragements À m airemer << m engages à jcmêre ns retard des Pilules Rocges remdde que a apulemenc pese mes fon ientôt j'ai pe manger un peu: Les fueues me sauf semences et je mesns bien rétable Sans les PÜubes Rnoages jecruns que je serzs ete tuinante”. Mme Ouide Lalberté, Windeer Bille, P_Q
_Dérangement Douleurs périodiques Insomnse coeur irrégularités Maux de reins Troubles du retour d'âge
CONSULTATIONS GRATUITES œes fon, per bre ss à ses bureuur, 1570. rue Sant Donna \ucre macact ax à ste cum aus jeure, de $ heures du matin à 8 heures de au (œcpté lee émenchon ae rompauses. Vous me mchécn dun Sens Gu à mous me peur ren. Hi ous et omgumndes de ss super à males me mt - Hnoctepartut, en per be peus, 50 aus Le bon GS RMNRR FRA LU AMÉRR RS me DR De mme
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porc détail ss Légers 552 Truies No —— ss Verrats ss. Cup = FnoœUTrs ss canadiens | Deurre— Prix Prix |Crèmerte FOR Winnipeg. — 74 T's 13 Cut 4 pe NET "sd __.sS 233 s SET LE TR TT — : _ nee mi > é régal dr cha. Le éégert se Se per Le trie . marvégionme 2681 3S s roucteum et de Out Van mes ue pour Le congrès L'unmeur Séance” des Chomins de fer Me due __ DS 3S | | jme nome pes sur bat suus sur I Le Coumux mouvesx rain de lame de 29- sement ____ 229 xs x L >. k
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| | | | | | | |
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cesns em mile E auraut ut plus dar- ! gear lmduersee late ee sue pus pate que grmdanteue. Les gum |
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des Seumes Sauc Suite uen Courtiers en grains | CR en - no . MR CRAN EXCHANGE AMMEX. WiNNIPEG, MAN. heure, à Cut que Le s j e= ! .
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Case Fees
*
LA À. 2 HUE 3
FAMLHE US SRB RER
. «ee Vendredi après-midi, les autorités iunicipales ont déclaré une demi- ournée de congé afin de périmetre «x habitants du village de se rendre u “fair” de Summercove'. Malgré
out ce que puisse avoir de bon ce| 4e Joliette, P. Q. Une foule recueillie. | este de fraternelle amitié, il y a composée de nombreux parents et!
cependant un grave inconvéient, en e que les habitants d'autres districts ributaires de Meyronne, n'zyant pas té prévenus de la fermeture des ma-
asins se trouvent amèrement déçus |
e ne pouvoir faire icurs emplettes, et ont obligés de retourner chez eux es mains... et les voiturek vides.
. .
Le mercredi, 19, un orage de grêle l'une violence inouic s'est abattu sur e district au nord de Meyronne, et en noins d'un quart d'heure, d'immen- es champs de blé qui auparavan: "ffraient au passant un coup d'oeil nagnifique, étaient transformés en lésetts. Il y h des endroits où on ne eut qu'avec peine distinguer les sil- ons des semeuses.
Les pertes sont énormes; et com- ne l'étendue du terrain ravagé est rès vaste, le nombre des victimes en ‘st d'autant plus considérable. Outre a perte du grain qui a été estimée à 200,000 boisseaux au moins, pour le listrict de Meyronne seulerñent, il y 1 beaucoup de dégâts aux bâtiments ‘t aux plantations d'arbres. Chez M. ‘base, un des fermiers les plus en rue, les caraganæs ont été complète- nunt hachés, et tous ses arbres ont ‘u les feutfles et même l'écorce arra- ‘Lées, ct ne sont plus que des sque- ettes. Malheureusement, plusieurs le: nos honves familles catholiques x trouvent sur :+ chemin de l'orage lévastateur et auront à souffrir une lure épreuve. Jos. Fhaneuf, E. Mil- aire, A. Couture, A. Smith. M. Dou- diile, P.-H. Bouvier, ainsi que tous ses l1s, Jos. Hamel, E. Le Gentil, A. La- ñlante ct d'autres æ3core sont au ombre des victimes de l'orage, mais ls se sont tous résignés à leur sart iwac un esprit vraiment chrétien, et l'est à espérer que leurs pertes se- nt compensées d'une autre manière
. =
Les récoltes dans *> sud du district COTE
Pour l'onglée et les engelures
Les engelures sont provo- juées pur l'exposition des mains au froid et à la neige fondue; l'ongléé provient des vents glacés de lhiver. Dans le traitement de ces deux en- auis l'Huile Eclectrique du Dr Fhomas est une préparation eecllente. Elle contracte l'in- flammation et soulage la dou- leur. L'action de Fhuile est prompte et son application est extrèmement simple.
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1 omis dans “mieux” omis dans “besoin” omts dan, ‘n'ngle”
Noms des gagnants { ter prix: $1.00—Blanche Brisebois, South Junction, Man. e Arpin, Lorette, Man.
: $1.00—M à Fontaine, Otterhurne, Man. : $1.06— Marie-Rose Bessette, Aubigny, Man.
?me prix: $3.00-—(iern Sme prix âme prix
Sime prix: $1.06— Irène Chartier,
Essayez encor
. Cette page spéciale d'annonces parait encore cette semaine sayez de nouveau de décrocher un de ces prix N'oubliez pas que
nous tenons compte de la netteté des réponses.
| Concours de Lettres Manquantes
de la semaine du 13 juillet 1927
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: Dimanche abbé $ re Le e.. En. dañt | Ouveau curé, ce. qui sé fera proba: lement à là" retraite ihnuellé; notre es paroisses voisines, et les services es dimanèbes se feront probable- wot à l'être habitselle.
: #4 . ee : M. et Mme François Brière ont le| Pour la première fois das l'histoi- lalsir d'annoncer la naissance d'une | re de la paroisse, Saint-Raphaël de lle qui a été baptisée dimanche der- | Cantal a vu se célébrer, le 19 juillet, ler sous les noms de Elodie-Irène- | des noces d'or: celles de M. et Mme _arie. M. et Mme Charles Van Els-| Edmond Gauthier. ande sont les parrsin et marraine. | En bons chrétiens qu'ils ont tou- Sitaniey Harvey se remet graduel- ment
mariage. M. messe. constance fut prononcé par le R. P. Farley, C.S.V., profeseur au Coliège
amis, y assistaient. Le chant fut exécuté par des membres de la famille, enfants et petits-enfants de M. et Mme Gauthier.
| Après la messe. il y eut réunion de ; famille à la résidence des jubilaires au village d'Alida Au foyer comme à l'église, la fête fut dignement célé- brée. Le diner fut u2 vrai banquet où l'entrain régna comme à celui des premières noces il y a cinquante ans. Une récitation appropriée pour la cir- constance, accompagnée d'un très beau bouquet et d'une bourse bien | garnie, fut très bien rendue par Anna let Bernadette Chouinard, petites-filles | des jubilaires et files de Joseph | Chouinard, de Wauchope. Une adres- {se fut présentée par Amarylis Do- | nais, accompagnée d'un bouquet au nom des absents: Soeur Sainte-Irène, Sainte Sainte,Thérèse et Frère Ber- pard.
M. le curé Nadeau, en termes.choi- sis, offrit ses voeux et ceux de sa pa- roisse aux heureux jubilaires. La pré- seïce de plasieurs prêtres rehaussait l'éclat de la fête et fit voir en quelle estime sont tenus.M. et Mine Gau- | thier dans ce district qu'ils habitent depuis de nombreuses anné:s. | Voici les noms des membres de la | famille présents à la fête: M. et Mme 3. Donais, d'Alida, et leurs enfants. Amarylis, Flore, Emma, Louis, Jo- seph. Amédée, Paul, Edmond, Gérard, Léonard, Noëlla: M. et Mme Joseph Gauthier, de Meadow Lake, M. et Mme Johnny Gauthier, mariés quel- ques jours auparavant à Gravelbourg: M. et Mme J. Chouinard, de Wau- chope, avec leurs enfants. Edmond, Maria, Albert, Oner, Mathilda, Jo- seph, Rosario, Damase, Anna, Berna- dette, Louis, Gérard, Paul: M. et Mme Ernest Rueil et leurs enfants, Yvon- ne, Thérèse, Joseph, Germaine, Gisel- le, M. et Mme Albert Boutin, Bertha et Béatrix, leurs filles: M. et Mme Louis Gauthier, frère du jubilaire, M. et Mmc Jos. Ménard. M. et Mme Louis Germain, M. et Mme Philippe Germain, M. et Mme R. Gauthier, de Ponteix;, MM. Emery Donais. Charles Boutin, Jos. Boutin, Alyre Boutin. Alcide Boutin: Mlle Alice Boutin: M et Mme Aurius Nault: Paul Vachon, Paul Côté, Joachim Ménard, Edouard Comtois et plusieurs autres encore dont les noms nous échappent.
I] est toujours permis d'espérer de fêter les noces de diamant de M. et Mme Gauthier, dans dix ans.
Montmartre, Sask.
e cette semaine Es-
. de la correction et de l'originalité
recbnnaissance en faisant célébror une grand'messe durant laquelle ils renouvelèrent leurs engagements de l'abbé Louis Nadeau, curé de l4 paroise, officiait à cette Un éloquent sermon de cir-
COLOMBIE ANGLAISE
MAILLARDVILLE
A vos bonnes prières
Nous recommandons l'âme de M | Hudon. père de notre paroissienne, | Mme H. Michaud, décédé dans la pre- mière semaine de juillet, à Sainte- |
Omission involontaire | Le couvent de Notre-Dame de| Lourdes de Maillardville, comme ins- titution française, a eu l'honneur in- signe de voir la séance de fin d'année scolaire présidée par M. Suzor, con- sul français à Vancouver. Les prix, récompenses, diplômes, etc, décernés aux élèves furent présentés aux do- nateurs, pour être distribués, par les fillettes Jeanne Bouthot et Bertille Bohémier, toutes gracieuses dans leur jolie toilette blanche. Le réglemen- taire bouquet de bienvenue, grosse gerbe de magnifiques roses blanches (couleur de France enfouie dans d'immenses feuilles d'érables, füt dé- posé suf les genoux de Mme Suzor par Gabriel Schwab, mignon benja- min d{ couvent. Conservatoire de Toronto Présentées par le couvent de Mail- lardville au Conservatoire de Toron- to, ont passé avec distinction la classe junior intermédiaire. Miles K. Allard. E. Allard, A. Dickenson, C. Dunbar, P. Cromwell Bravo. petites! tous nos compliments, et merci à votre dé- vouée maitresse de musique. Accident fatal Tandis qu'il revenait en bicyclette de son ouvrage à la scierie Brunette, à 11 h. 30 mercredi soir, René Le- blond, âgé de 19 ans 6 mois, fils de Cléophas Leblond et de Dianna ie chemontagne, fut frappé sur le “Pitt Road” par un autobus de la Cie Pa- | cific. Le contre-coup l'ayant projeté sur la chaussée, la victime de l'acci- dent fut relevée le cou cassé, tuée instanta)ément. Après l'enquête te- nue le lendemain dans les salons de Bowell and Sons, embaumeurs. Frank Burnett. de Coquitlam. chauffeur de |
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l'autobus fut acquitté sur Île | de mort accidentelle | Funéraillcs
En témoignage de considération
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Angèle Merisi, comté de Rimouski. |
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Mme Mocaire et M. Sauvé sont de
retour dans leur famille. M. Cormier, Le 14 juillet M Aurèle Duguay
qui est loi1 d'être bien, prend cepen-
dant un mieux sensible.
meurant aux Etats-Unis
MANITOBA LA HROQUERT
Le 2 juillet, M. Hormisdas Gra2- ger finissait ses jours à Saint-Brieux. Sask, à l’Âge de 82 ans. Cette an- nonce a été faite le 3 juillet par M le curé de La Broquerie. Le défunt
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conduisait à l'autel Mlle Marie-Anne
|vement de 24 et 15 ans qui se sont |noyés le dimanche :7 juillet dans le
|lac Michigan Nos respectueuses (aympathies aux feniles éprouvées.
était l'un des plus anciens pionniers | 7e — — han qan.die LETELLIER | 1918 À cette époque, la plus grande |
partie de ses enfants étant allés s'éta- | Finérailles
blir dans l'Ouest, le firent dévider à |
s'en aller avec eux à Saint-Brieux. Sask. Il ne laissa pas La Broquerie sans regrets et il en garda toujours un bon souvenir. N'était-ce pas que tous ses enfants étaient nés et avaient grandi près du clocher de l'église qu'il avait vu s'élever avec joie, non loin de sa demeure.
M. Th. Granger était un homme de
Une syncope du coeur a fowiroyé ML Joseph Roy pendant qu'il était au
travail dass son jardin le 11 cou-| a! rant, Le défunt avait été averti de
|son état dangereux quelques mois au- | paravant, mais il devait mourir à
l'oeuvre.
Ses funérailles ont eu lieu le mer- | credi
oi et un bon chrétien et il a_acçepté | était Présente
la mort avec une grande résignation | I1 laisse pour pleurer sa perte son)
épouse, quatre fils et trois filles, ns sn l'époux d'Emile Parent. ne Ayons un souvenir dans nos prières | ‘© Dyamamce deux mois D avait pour cet anèien co-paroissien. cest re were ds | Wilfrid et Alcide. qui habitent cette
Nous devons exprimer notre très | paroisse avec leurs familles vive gratitude aux artistes de la Li-. Le deuil était conduit par M Eu-
berté qui nous ont donné, le diman- che 17 julilet, une magnifique séance. La salle était comble comme on ne
gène Parent. cousin du défunt Les | porteurs étaient: MM Tancrède Des- lcoteaux. Pierreville. P. Q. Didier
l'avait jamais vue et le succès a été Faucher. Saint-Boniface, E Desau-
digne du talent remarquable des ac- teurs. Voilà une soirée dont on s souviendra longtemps à La Broque- rie.
M. le curé présidait et s'est fait un plaisir de recevoir les artistes chez lui Nos amis de la Liberté ont bien voulu attribuer une partie de leur succès au concours actif qu'ils ont reçu des membres de notre cercle dra- matique dans la préparation de leur séance. Nous tenons à leur dire
tels, Joseph Saurette. Leteilier. Jo- sepbh-R et Arthur Parent Saint-Jo- seph. A Fhonneur
Le couvent de Letellier est à Fhon- neur cettz année. Une de ses élèves Mlle Germaine Saurette. du grade XI B. est lheureuse gagrante de la bourse de 550.00 offerte par l'As:ocia- tion d'Education
Nos félicitations à cette élève mé- ritante e? surtout à la dévouée reli-
qu'ils sont toujours les bienvenus à gieuse qui l'a conduite au succès
La Broquerie. RE
Nouveau prêtre
Le R. P
Les résultats obtenus par nos élé- ves dans le concours de français e!
| STE-ANNE DES CHENES dans les examens anglais nous per-
mettent de déclarer que notre écok se compare avantageusement avec
Isaie Desauteis, O_MI.|les autres, et que nous 7e devons pas
pour la famille affligée, l'église était | ordonné prêtre le 20 mars dernier à avoir d'hé-itation à y envoyer ms
remplie d'amis venus prier pour le; repos de l'âme de ce malheureux jeu-} ne homme, cueilli si brusquement à la fleur de l'âge. Le service fut chanté par le R. Père curé Les porteurs étaient MM. R Gagné H. Amont, A. Sauvé, R. Lacasse, J. Payer, E. Gau- thier. Il laisse pour pleurer sa perte. son père, sa mère, quatre soeurs: Mme Vallière, Mme Turcotte, Florida let Marie-Anne, ainsi que quatre niè- ces et quatre neveux. A cette famille plongée dans la tristesse pfâlr ce deuil aussi pénible que soudain, la Liberté offre sa cordiaie sympathie.
En visite au presbytère
Mgr Pennings. abbé prémontré de l'abbaye Saint-Norbert, Wisconsin, E.-U. accompagné du Rév. Chanoine prémontré de Kort, professeur au Collège Saint-Norbert du même en- droit, et du Rév. N. Corley, curé du Sacré-Cueur de Vancouver, C-A. Le R. Père T. Murphy. curé de New Westminster, C.A., accompagné du R. P. Lépine, président de l'école indus- trielle Saint-Eugène, Cranbrook, C.- A. et du RP. Lepage. ex-professeur du Collège Saint-Louis de New West- minster, C.-A. M. l'abbé Desmarais, curé de Dover, New Hampshire, E- U., membre de l'excursior la Liaison française. M. Charlebois, agent de la Cie Winnipeg Charch Gaods, de Win- nipeg. Man Visiteurs de Sainte-Rose du Lac, Man.
Aussi enchanté que surpris fut M H Racine de. voir arriver des amis | partis de Saint-Evariste, PQ, de-
ELA ‘1.
Lebret, est en vacances chez ses pa- reats. Dimanche dertiier, 17 juillet. il a chanté sa première grand messe dans sa paroisse natale. Le R P Fiset et M. l'abbé Beaudry servaient diacre et sous-diacre. Un éloquent sermon a été donné à cette occasion par le R P. J. Magnan, provincial des RR. PP. Oblats Le R Père a vivement touché et irtéressé sCn au- ditoire en montrait que le prêtre est vraiment un autre Jésus-Christ. Com- me son divin modèle il passe sur la terre en répandant dans les àmes la vérité, la charité et le pardon Puisse son apostolique parole avoir suscité parmi nos enfants d'autres belles vocations sacerdotales' Visite de paroisse
Le R. P. Mercier ax voulu tout de suite prendre contact avec ses pa- roissiens e1 faisant la visite de sa paroisse. 11 a été heureux de trouve? dans nos foyers ce raème esprit de foi qui règne dan: nos familles de la belle province de Québec et qui fai recevoir le prêtre comme le repré- sentant de Jésus-Christ.
Notre paroisse compte actuelle- ment 197 familles, 845 communiants et 1.049 àâmes La population se maintient et nous tenons DOS posi- tions. Nous pourrions cependant nous fortifier. Quelques terres. pri- ses par des étrangers dans ces der- nières années, pou:raient maintenant repasser entre nos mains Quelques- uns des nôtres dédirent présentement vendre leur ferme, pour raison de
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enfants De plus les élèves de res. térieur qui désireraient en prendre avahtage jouiront d'une bonne ac- commodation chez les religieuses de Notre-Dame des Missions et bénéf- cieront d'une école “euve. moderne sous tous rapports Visiteurs . De passage chez M Louis Saurette. il y a quelque temps, Soeur Leciair des Soeurs de la Charité de Saint- Norbert Elle est la soeur de Mme Saurette. M. l'abbé Chamberiand M Na-cis- se Breton. amsi que M et Mme Léon Bruyère sont allés rencontrer la Liai- son française à Winmpeg à son re- tour de l'Ouest le 13 courant. afin d- raflermur les relations etablies avec ces distingués visiteurs lors de leur passage à Leteillier Mme veuve Jos Bois Milles Bila- che et Annette Bois nous quilaient récemment pour ua séjour à Gary. Indiana Malades Mme Joseph-H Empsoa est de re- tour de lhôpital de Draytonm ND. où elle a subi une sérieuse opération Nous lui souhaitons rétablissement complet M_ Albert Dansereau. un de nos es timés citoyens, est souffrant à l'hüge- tal de Saiit-Boniface. où il a été opé- ré par Dr L-D Coiln pour une =æa- ladie de fonte qui menaçait ses jours Nous espérons que l'opéralion à été bien réussie. et qu'il nous renendra [nenres avec une santé améliorée
! ééfaire cances. repos lien mérité après un an | de ue ET mn D drnarrinmepe« ARR reEe Ÿ avons la preuve dans l'élève qui 2 | #nient réellement supérieures Les
facons en restent sout conservés tinction Nes mellioures Séichations |à tue de ce à notre dévoufe institutrice, Mile Isa- | — 0 D
, REGINA _ Hoïton nous la verrons revenir parmi nous à ner 7m par Mgr url ouverture des classes la foudre pendant qu'il labourait sur
..—— la ferme de son père
SAINT-NORBERT __ DUBLIN M le chanoine Mc:
re de Toronto pour bes degrés intet- médiaire, primaire, élémentaire et
Hearn, Irène Tétrauit M-Paul Sau | OTTAWA rette. Henia Pelleck, Marie Cadieux. mercredi dernier. 2400 personnes dnt | visité l'édifice pariementaire —_— 22e ——— | Rss Le vlus vieux vin du monde SASKATOON Les compagnies —— | d'assurance contre les dégâfs subis Quelques jours avant la Noël, il fut : par les récoltes se voleñt aëssaillies de en effet. plusieurs contenaient du vin | réclamations, au chiffre de plusieurs vicux de deux cents aps Telle fut la | millions de piastres par suite des ré- 2ouvelle lancée dernièrement par les centes tempêtes de vent. de pluie et jpurnaux A cette annonce, la firme | de gréle. en Saskatchewan et ca Erbmauns, de Londres, dit qu'elle | Alberta
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Du DR. PIERRE
C'est parce que ce remède va directement à la racme du mal, limpureté du système. Il est fabriqué d'herbes et de racmes pures et snbutasres. et n été en usage depuus plus de cent ans
Ce n'est pas une médecine de droguiste. mais est fourme dectement par le Laboratoire de
2501 Washington Bivé. | _Debvré hbre de tous drects au Casaés
parce que jar touyours le meilleur prix—<t que ve l'ai promptement. sans faute. Mes gra des ne suffrent pas des kngs charrors aux.
siatrns chugnecs
L'atimission mmpliquée que les Coopératives sont maintenant efh- caces est récomfortante. mais il est également vrai que le gra retenu en debors du système de vente de la Coopérative aide
empécher ce système d'être plus efficace Perscane n'a encore avancé contre les Coopératives
chose nécessaire aux fermiers de la Saskatchewan
SIGNEZ UN CONTRAT AUJOURD'HUI
The Saskatchewan Co-epera'ive Wbeat Prodacers Lid
: RBGINA. SASK
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@ L parois au presbytère Entre temps tous furrm mines à remèêre vaste «t à face bommeur à ue
take dresmée dans la serdure «2 tai” _ pots” iains = niet oi votre | mathématique entre les deux Ccomsti- Los à ves cf ls
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Les vorageurs &@ La Lansmæ fra Case ent paru emerveslks de la bac 16 et der La fertiERé de mas fermes Nos routes exceleotes furet pour Cu toute um révélatxs, Ls voux- reut um mous dire que ba pèus tele route de tout brur voyage éags | Os: far Ge Sam Eusnate à Wrzgeg Notre égme fm ass marge me seule eglue visée pa” es :0v2-
TOuest peut dE <e
aus [ul peser Dar us #5 TRÉEuTS
Revenvz smoure CiwTs VAÇCATS
du vuus Quebec Revesez pds L'æ-
avec 2008 LEZ
mous donmer le lemme de vous fostez pds partfaezez: La jou € * bombe que vous à faut enrevur vo
memes. ent Le catéchiume C'est de —. TS
ke temps des clasmes et au caiéc see
quant c'est “Thbrure &œ Duu” | Echos dr Linhen française
M Laure Barré qu mous à fa:
sant à Letelber Lrs autres voyagrurs Ge la Lauce en tanquet } pars
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œux qu zairont d'eux sis me sont ‘nipeg . [pus mieux partagés sous de rapport | ._. font certaine-
je te éommme écommque que neusiont à refaire ls grande route Winai- \avons l'impérwux ever de me pasipe£-Daupiue. de Keïwood à Laurier, imégliger Nos succès den ja fnan-|et la pme sen mélant si souvent.
pour une randonnée dans la campagme | ou smylement l'homnéte aisance | C'est impossible de tenir le chemin
@s village tem par des deux soeurs |<e qu compté cest léb'e parce que! PE Degré ‘Junior Honneur (ire Guyot Erob ben covemabie em |, j, amère du levain qui fait lever| Mile Antoinette Bouchard est aussi] classe): Aimée Thibault, Liliane ifamts moœmbceux que [0e questro me €: route La pète elle ammme cette maswien visite à Saint-Lazare pour quel- Blais, Solange Jodoin, Cécile Toupin. fe= mes réponde d'ume face ét00- | Liferente «+ matérielle encore faut-| QUES semaines Honneur: Louise Guertin, Eileen
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Lee cspode passage à Lraïers De «Em |
tres, demeures fopcwTezpez" ‘82 as mabgre La persécutwe ————— 02 \
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{par + Bot montant de l'imemgratio: | nes passées [Sa dans les grandes agricemerations |à Winnipeg
HO qu'i v an une certaume proportion
Lucienne Bédard, Margaret Jones.
Montgomery. Gilberte Fortier, Thérèse Arpin.
Josèphe Mager. Agathe de Montigny.
: Solange Jodoin, Louise Guer- tin, Ellen Giroux, Aimée! Thibault. Honneur: Jean Roberts. Passé: Cé- cile Toupin.
Degré primaire Honneur (ire classe): Agathe de Montigny, Arthé- mise Tremblay, Thérèse Arpin. Hon- neur: Eïleen Montgomery, Madeleine Bcuveron.
Degré Junior (histoire, harmonie, contrepoint } Honneur (ire clas- se): Marie-Josèphe Mager.
Degré intermédiaire (contrepoint )
Honneur: Eveline Beaune. Piano
Degré préliminaire Honneur {ire classe): Lucienne Bouchard, Annette Verville. Barbara Tingley.
Degré primaire Honneur (ire classe : Helen Berg. Margaret Col- garn, Thérèse Laurendeau. Honneur:
Arthémise Tremblay,
Degré intermédiaire -— Honneur ‘ire classe): Simone Ledoux, Marie-
__—_— Lire il mous faut mous emparer Notre situation scolaire Degré ‘'Associateship” PR RCRE THIBAULTVILLE > la pdus grande parte posséhle du a (ire classe): Eveline
——- isoi Au Marroba comme dans Est aulne.
Bagsee ice Tagncuiture qu ous sauvera Saint-Beniface n. depuis queiquer Mlle Eveline Beaulne ayant obtenu
foats bept-emacx Denitro L'un Preaca Uhramwess & La Eroqguernzr
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& Hosmard Tlhuson de Wmzigmeg € de feu Abre Wbeein e Hzæge él re Jerérsx Hxçgé et àr
Jcepèume Vamèsi recerasez: dans ne- | tre écheæ la temédctoe œuptab M | Tamtéressant Mais ausn d'apprendre Reme Lecierc et Mile Charssse Bérard! ®meique chose qu vous axera dans remphasaent des fomctoums de garços | VOTE propre exphutatxe
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ée Ile Hirmak et de Mars mot venez visiter La ferme de La | Mais Sant -Josepè (roccasic® de faire ur pélerinage au Le 11 &s mmêmme mecs Arche Tiurs |cemtre de la dévotson à samt Josepa Le <= resademcr à Tiwtauk ville fis | dans TOrsest et vous pourrez vous [rendre compte de ce qui s'est fait sur Ciariss | Ce cou de ierre mamtobame depuss
res boceur | l'Archevèque sera présent et que Se \Gra2éeur prendra la paruke aies que
Ils se progusezt € v passez
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ru L7 C) | bu temmegzer |
1. d'Alexandre Hamebn
années som problème scolaire quil hui sppartient de résoudre Depuis la diruson de Sasint-Boniface en deux &strècts scolaires, Nord et Sud, plu- meurs enfants catholiques se sont trouvés dans la partie Sud A venir Jusqu'à cetic anmée. ils ont pratique- ment pu étre reçus dans les écoles du Nord Les parents de ces enfants out été priés de payer u2e contribu- Uon quand ils nouvæent le faire. Des: quêtes ont été prélevées pour venir en aide aux nécessiteux., ou plutôt pour combler le déficit. car la com- mission scolaire ne pouvait absolu- | ment pas permetître que ces enfants On a déjà annonce que Monseigneur fussent reçus pour ren Le nombre des enfants a rapidement augmenté et :l n'y a plus de place pour loger tout ce peut monde La commission sculaire s'est donc vue forcée de ren- voyer les enfants qui ne sont pas ‘strictement de la partie Nord, car il n'y a plus que la place nécessaire à cux du Nord et ceux-là disent les commissaires étant les enfants des contribuables doivent avoir le pre- mer choux Les enfants catholiques Gu Sud se rerront donc exclus de nos écoles jusqu'à nouvel ordre Voilà la s"matron Elle offre ses difficultés. surtout elle agrit une parte de notre
ass 1 5 à agrouhure et agnicui-
Vous aurez
Quur ans Vous aurez sazs doute Toccasmon 00 seukemert de vour de
M 1 Vaemruve. masiructeur agricoèe
présence: de plusmeurs membres Qu | chergé Le diner se prendra sous boss Chaque ZTOURE apportant son "passer
La vrste de l'orpèelnat du trou- peau du ruacher etc. commencera 2: 3% À 2h auromt beu les scours La Benéditiwn du Trés | Sami Sacrement dans l'Oratoire St- Jospin chturera ke lout de façon à permettre # depart vers 4 b
vers 19
SAINTE ROSE DU-LAC |. nr nant pas vous fait leur de_
is bôtres n'ont pas tout fait leur de- ? vour. Les contributions en faveur Mike Simome Théoret est en voyage | des écoles ont peu donné et de ceux CmRS la prormee de Québec depuns] qui ont domné beaucoup étaient des | quelque temps ele a assisté à La pri- | contribuables de la partie Nord, par se d'hab de sa soeur GCermame aufconséquent moins directement inté- Ge la Présematue à Sazt- ressés que les autres et ils ne l'ont le 5 de ce moes et doit | fai que pour des raisons supérieures. ensue se renère aux péierimages Qu |I] et pénible d'avoir à renvoyer les Cap Ge la Madeleme et de Samte-|.fants catholiques de La partie Sud, [Anne de Beaupré mas tous reccanaissent que le local | Bayiroos va manquer Afreda-Favimo de eorgette e2- Dxmancbe dernier. après la messe, |famt Auguste Soens et de Stéphane | eut heu une importante assemblée des | Terre Parram Armand Sons | pargissiens et cette diffculté leur a Crcibe Thwrrem été soumis en vur de LTOUVET URe S0-
cvent
Hyaczætbe
| MMarTaR
Jean nrard-Vnter emiaz d Israel Ame au probleme actuel Après une est € & CHvontk Veank | Das de (opèz Neal Par-longux dscusson où toutes les opi- ram Jeaz Neaï marrame Vict - * ss : 7 torse | -20ms cmt élé tournées et fetournées nbédpnen: | m question à éle rezvoyée au cercle j Da Ferre enfant de Thomaæsfuæ) de ! Association d'Education. lc mienne et & Fose Ca:'e'Bez Par qu ce protiémme intéresse plus direc- {ra Ncei Coste marram Bern, menté Le cercle Gevra se réunir et
__ Cri 2 ee propose: La Sobutum quil croira la lsatw£l:-lixe er<is: & mc-Leure :
Joseph Ca- Marte-Ansxe 12
Mars >prre-Mane
Race e1 de Sesct
dam? EE etant de Jean
Bermuy €’ &f Jubetie Guitert Par- A l’archevèeché
"az Arteur Guilbert merrame Je —
spaux Berre Le reiraie ecchesiastique s esl Ler- Mariage mmmeée là semaine dermére Elie n été
Jeswgh-Pene fils d'Elphège Arrvand de “ame PFese avec MareFos
préchee par be KR P Côté, OM]: 2ttæe Moreau récemment o1- de Sante Pise | dumne prétre dans la province de Qué- es arrive à Saant-Bomiface M 2 (latte Morear ‘21 état autreïuis age codée Lle),prufesseur au ( diège de Saint-Bo- League et éoulou- | face appartient mamtenant au dic- mmbumnée Le 13 pui cesse dr Sasnt-Bouface
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x Se RCE veut © Eire 11 muet à. res ue leu Male €!
Pas _ pe pobehhllurs 2 25 lame €: Andes cque és
AE adui®:,-
la note ‘grande distinction”, elle re-
intitulé “A T.C.M. Special Diploma”.
Parrain, Michel Chicoyne, fils, mar-
cille, née le 10 juillet, enfant de Fer- dinand Perrier et d'Emma Delisle. Parrain, Arsène Brin; marraine, For- tunée, Gorman.
né le 17 juillet, enfant de Joseph Bou- Chard et de Marie-Rose Jiasson. Par-
cevra le certificat du Conservatoire
Baptêmes
Le 21 juillet Michel-Joseph- Francis, né le 19 juillet, enfant de Jo- seph Nolin et Herminie Chicoyne.
raine, Mathilde Rateau. Le 24 juillet Marie-Evelina-Lu-
Le 24 juillet Joseph-Léo-Roméo,
rain, Napoléon Goudreau, marraine, Hosanna Saint-Laurent.
Le 24 juillet Berthe-Aurélie-Cé- cile, née le 13 juillet, enfant de Jean Van Raes et de Josephine Dandu- rand Parrain, Raymond Milette: marraine, Léonie Dandurand
Sépulture
Le 23 juillet Inhumé dans le ci- metère de celte paroisse, Renée Mar- chand, fille de Joseph-Lucien 0 chand et dé Marie-Thérèse Pelletier, de Renie, Ont, décédée le 22 à l'âge d'un an
es In memoriam
‘Affectueusement dédié à M. et Mme A. Bissonnete, Los Aageles, Cal :
Comme il a dû vous en coûter pour ke prononcer, ce ‘Fiat douloureux, que Dieu demande d'un coeur chré- tien quand il] lui fait boire jusqu'à la le le calice d'amrtume
La mort est toujours cruelle, mais combien ne l'est-elle pas davantage quand et frappe soudainement, sans qu'on l'attende et qu'elle elève à no- U+ aflection un charmant enfant sur qui l'on fondait les plus belles espé- | rances' (‘est la foudre en plein cicl| bleu. et le coeur reste comme pétrifié | de douleur’
1j était Lon et aimable votre cher peut Jean, trop bon pour demeurer), sur cette triste terre où une jeu1e âme ini1ocente comme était la sicnne, rencontre tant de dangers. Le | bun Dieu l'a aimé plus que les autres, et. en le prenant! dès son jeune âge, | hu à épargné ces mille blessures de | la vie dont nul n'est exempt ici-bas |
Consvlez-vous, pareats désolés, et | que vos larmes perdent de leur amer- tume en songeant que votre bien-ai- | me Jean vous attend là-haut en chan- | tant ia gloire de Celui qu donne tout, mais qui peut tout enlever quand il
pure et
Saini-bouifaos Z2 juillet 3427, À
ÿ
Saint-Joseph |
doivent prendre la parole À diverses | assemblées de village, embrasser tous {mot ‘’Favor' était masculin les enfants de toutes les familles qu'is : donc dire ‘ampliandi® et non un visiteront, etc.
nis, ainsi d'ailleurs que plusieurs au-|
lu: plait de le faire | UNE SYMPATHIQUE AMIE |
:
ne 0 Pr, | k at … nm h SL ECS 00 © : Winnipeg, Man. 7 juillet 1
bien chaud --Oeln fait maigrir et - mieux que tous los régimes, dis be
. Nos directeurs ont de grands jets, mais ils n'ont pas d'argent’ parlent de lancer une campagne ] recruter de nouveaux membres porter leur effectif À 400 Nous rons ce que l'avenir nous 1éèe En ättendant, le chroniqueur l'Union Canadienne vouwirait tien l'exécutif lui permit de prendre vacances. : :
Réponse à “Annonceur” , Ux certain chroniqueur. cxces: ment prolifique, trouve à une réc: chronique un air de croquemort et vite le directeur de Ia Liberté à « camme il dit avec élégance jun vère de censure” (sic Peu-être chroniqueurs: ont-ils parfois le ci à pleurer quand d'autres L'oit à: mais encore peut-être ont-ils leug sons. En tout cas, nous ne vo; pas camment l'innocente Chronique question pouvait. comme disui! si liment ‘Annonceur, donner
de l'Alberta. Elle a obtenu 194 points sur 200. La Crèfmerie fait aussi, de- puis quelque temps, le commerce de volailles, oeufs et veaux abattus. Nous nous réjouissons du succès de son propriétaire, M. Charles Gau- dette. , . _ . : La Compagnie Cuillin a le plaisir de vous annoncer l'ouverture d'un ma- gasin, 195, ave. Provencher, avec un assortiment complet. d'épiceries, co- mestibles, fruits, confiseries, tabacs, cigares, cigaretes, etc. Venez voir nos prix avantageux et juger la qua- lité de nos marchandises. Donnez- nous une commande d'essai et nous vous garantissons un service parfait et la plus entière satisfaction. Télé- phone résidence 81 248. |
la « que à un lecteur le moindreiment
—- _—_— ne —— — "| <elligent. - - : - UNION CANADIENNE "2 2% oué était plus sévère ‘de censu
certains articules du verbeux cyn \ Va-et-vient queur ne verraient jamais le Jjoi Notre 'président est de retour. 11| Que dirait ‘’Aïinonceur +1 A1 je
n'était allé qu'à Laurier et nous le | recteur allait ‘tailler, couper, él croyions parti pour des mers lointai- nes. il, de convoquer une assemblée! Mais lui? ou au moins enlever ce
ner, faire disparaitre” tout ce qui ‘‘répréhensible” das ses Chronique
Son premier soin sera, parait- qui
nous allons pouvoir lui prouver que Parfois grotesque? Même si M nous nous sommes bien conduits pen- | directeur se limitait À rétiancher dant son absence. | qui est incorrect et malsonnant :
Notre chapelain a fait sa retraite. | vent. ses chroniques se vertaient
11 paraît que cela veut dire plus de | dûites À leur plus simple expresni travail pour les directeurs et de nou- | Mais M. le directeur, lui aussi se «
veaux projets à réaliser. 7 vient de l'adage dont parle ‘Ann Henri et Roméo sont partis pour | ceur": “Favores sunt ampilandi” Lebret, Saint-Lazare, etc. ete. Ils! Cher “Annonceur”, au tempa
nous faisions nos éléments Jati
il fal
|andae”, et encore Ià 11 eût fallu Armand et Gabriel jouent au ten-|Miner, retrancher, couper”, ele: A bon Annonceur salut!
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Feuilleton de ia
“Libtre6”- No 6
LA PUCE ET GREDINE | LES PETITS LOCATIS
Histoire vraie. racontée en srpt soistes per wn gierd oncle à ses petits-neveux et petites-milces, et recueille
:. CINQUIEME SOIREE L'ONCLE
tant, que cela arriverait. et comment”? li ne le cherchait pas. Mais il vivait de cette espérance, même mi c'était une folie. Et Gre- dine, en pensant comme lui que ce serait miraculeux, y ajoutait d'autant plus de foi qu'elle avait une piété dont était privée tte pauvre Puce, à qui
personne n'avait jamais beaucoup parlé de religion Le lendemain, donc, et tous Îles
jours suivants, ie petit, profitant des distractions que le succès de l'aveu- gle-chien continuait de donner à #on maitre l'aveugle-hormme, ouvrit les yeux à tous les moments pour voir si, dans la foule de ceux qui les en- touraient, il ne reconnaishait pas le garcon à la pipe. Afin de ne rien négliger, il ne manquait pas non plus de guetter de loin, sur les têtes des enfants, les casquettes qui auraient pu le mettre sur la trace. Ah' des casquettes, perbleu! il en voyait des cents, des tas, de toutes les formes et de toutes les couleurs; mais aucune n'était celle du cumarade inconnu, et sous laquelle s'allongeñt l'étroite et dure petite physionomie au poil sec et blond, aux yeux pâles, au menton de volonté. La semaine passa -uinsi, puis lu suivante, puis les autres... sans que reparût la Pipe. Tous Îles soirs, dès le retour de Séraphin, de l'enfant et du caniche, Gredine de- mandait des yeux À son ami: Eh bien! l'as-tu revu?
Et de la même manière muette, le
petit, invariablement, lui faisait sige
que non
L'aveugle, cependant, vamaænt ses tournées, changeait tout le terups de place, ayant pour habitude d'allei
chaque jour dans un quurtier diffé- reut, sans crainte, parfois, de pousser jusqu'aux plus éloignés Il semblait
donc à la l'uce, qu'à force de battre ainsi Paris dans toutes les directions, Jon devait avoir plus de chances que si on retournuit tous les jours au méiue endroit. A quoi Gredine, avec
raison, observait qu'au contruire, pour le cas où le garçon à la casqaette aurait voulu retrouver 8on petit men- diant auquel il avait donné cent sous, il eût cominencé par revenir le inème
protégé, jeudis qui se sont déjà écou- que Lon type ait eu cetté
Or... son
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avons, nous, maintenant, qu'u+
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Et le btilet de cinq fruncs, dans tout Ça? Ah! il constituait toujours la caisse secrète, la première mise de fonds en vue de leur fuite, en atten- dant, toutefois, que, grâce à des ha- sards providentiels qu'ils n'arrivaient pas à s'imaginer, la somme s'arron- dit. Elle était pour eux ue source incessante d’alarmes. Ce bout de pa- l'pter, pourtant si rhenu, si facile à dis- simuler, les encombrait comme un paquet volumineux. Après l'avoir lungtemps porté sur eux chacun à son tour, ils s'étaient décidés, comme il finissait par se chiffonner, à le ca- cher, plié en quatre, dans un coin de leur paillasse, où Gredine l'avait cousu avec soin sous la toile, entre deux bouts de carton. La place choisie était celle où, couchée, elle avait la tête, de sorte que chaque soir, ne manquant pas de tâter s'il était tou- jours là, elle pouvait dormir dessus Le dur carton lui enträit dans ia joue; mais cela lui faisait plaisir. Ainsi, le dessous du lit n'étant jamais visité ni balayé, "ét la paillasse n'étant re- tournée que par Gredine quand elle en avait le temps, le billet précieux ne courait aucun danger.
Le succès de Pompon, depuis l'in- vention de Séraphin, ne ralentissait pas. Il grandissait plutôt. Jamais les recettes n'avaient encore &tteint des chiffres pareils. C'était, presque régulièrement, des soixante et des quatre-vingts francs par jour. Aussi, Pompon était-il, maintenant, blen soigné.
Ah! qu'il est vieux et fatigué disait parfois la Chatouillard en le regärdant. Pourvu qu'il ne lui arrive rien! qu'il ne toinbe pas malade
— Mais non, répliquait Séraphin Et puis, quoi! quand même! s'il cre- vait! eh bien! nous en aurions un au- tre. Un vieux chien aveugle! ça n'est pas rare! Et l'écriteau est toujours là, bon pour des années!
Cependant, comme, un matin, Pom- pon s'était mis à tousser, ils furent pris d'inquiétude
Je sais ce que c'est, dit la Cha- touillard. Il doit wÿyoir froid, la nuit sur l'escalier. Ih bien! à partir de ce sôir, il couchera avec les enfants.
jour, à la inéme heure, au liéu ou il Et, 8e tournant vers eux:
l'avait vu stationner, C'est-à-dire un Vous entendez, vous autres, jeudi, à quatre heures, place de la vauriens?” Vous prendrez désormais République Pompon avec vous sous mon lit.
—
PILULES MORO
Reconstituant de tout le système, donnent appétit, aident la digestion, font disparaitre les douleurs et les pesanteurs, d'estomac, régularisent les fonctions de l'intestin et éloignent
les maux de reins.
Les Pilules Moro devraient être prises par tous les hom- mes affaiblis et abattus, ce serait pour eux un bon moyen
de prévenir les maladies.
vailler
taieut que je
que je et que
M. Victor Psper
auparavant ne m'attiraient guère. eflet, je le sentais si fatigué que je ne désirais que du repos. Mon grand père
‘J'awais commencé bien jeune à tra-
ah dur métier de plombier. Les
journées étaielf longues et les émanations malsaiues que je devais respirer au cours de mou travail winaient imnes forces et gâ-
ion appétit. Chaque fois aussi devais travailler dans une cave hu-
ide ou au dehors, aux mauvais temps, je retouruais dans ma famille le soir avec un mal de reins.
Mes amis remarquaient n'avais plus ma gaieté accuuturmée les amiusements que je recherchais
En
me suggéra d'ewployer kes Pilules Moro qu'il avait lui-même prises et aux bons effets desquelles il attribuait
la vigueur qu'il possédait encore
malgré ses quatre-vingt-deux ans.
J'ai suiri sun coubeil et j'ai bientôt recouvré mon entrain; mes furces
de sout auzuenité(w et inee maux
de reirs sont disparus. Mainte-
nant, quand'je mesens affaibli, je prends des Pilules Moro et tout
de suite je 1ne remets'’.
M. Victor Pepper, 69, Cedar ave.,
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C'est bien, madame, grogna la fillette, on le prendra.
Oui, renchérit l'autre, on l'ava- lera, puisqu'il faut'
Heureusement que la mégère ne l'entendit pas! car elle l'eût gifé. Et sa gifle était si terrible qu'elle pou- vait tuer d'un coup un dogue et reu- verser un homme! Dans quel état, donc, je vous en fais juge, eût-eHe mis la Puce? On frémit rien que d'y penser.
Le soir, quand fut venu pour tous le moment du repos, les enfants, bien entendu, ne parlaient de rien. Ce fut la Chatouillard qui, tirant Pompon le poussa elle-même sous le lit:
- Couchez là!
Le chien obéit, mais sans laisser voir le moindre plaisir, comine s'il sentait, dans 8071 instinct, que ce n'était pas le cas de frétiller et qu'au contruire, il fallait paraître très mé- content, ce qui fit observer par la femme à son frère:
Décidément, cette bête est d'une intelligence! Elle a compris que ces deux petits voyous ne veulent pas d'elle avec eux et elle n'y va que l'oreille basse.
Gredine et la Puce, après Pompon, entrèrent à plat ventre dans leur ni- che, et c'est seulement alors, une fois entre eux deux, que le chien, ne s'ob- servant plus, donna libre cours à sa joie. En remuant la queue, il en- voyait même contre le sommier de 81 forts coups que la Chatouillard s'en alarma; elle crut que c'étaient les en- fants qui le tambourinaient, et de l'étage où elle commençait de suer sous son immense édredon rouge, elle lança son éternel:
Attendez un peu que je vous voie vous battre!
Aussitôt, tout 8e vieille ronflait. Cette réunion avec Pompor, inattendue, inespérée, sem- blait aux deux petits, en même temps, du plûs heureux augure pour la fuite | qu'ils projetaient. Leur gros chagria, le seul, était, jusqu'ici, de se voir pro- bablement forcés de partir sans le chien, puisqu'ils en étaient sans cesse séparés. Maintenant, ce serait facile de l'emmener. La pauvre bête avait beau être viellle, aveugle, exténuée, ils ne s'en frappaient pas. Je ne sais même pas s'ils s'en apercevaient. Une seule chose les ranimait: ‘c'est qu'avec cet ami fidèle, ils étaient trois au lieu de deux, et, bien loin que la charge de ce compagnon presque im- potent leur devint lourde à la pensée, ils se jugeaient pour l'avenir plus ar- més et plus fort. Chaque nuit, Gre- dine ne manquait jamais de palper le matelas à l'endroit où elle avait caché le billet de la Pipe. Elle n'eût jamais pu dormir sans s'assurer qu'il était toujours là. Ce soir, donc, com- me d'habitude, elle y porta la main, et, tout d'abord, elle ne le sentit pas Mais si! 11 y était bien! Et puis, soudain, comme à travers la toile elle le touchait, il lui parut qu'il n'était pas plié de la même façon qu'elle l'avait mis. Troublée, elle promenua mieux ses doigts à la place précise, et voilà qu'à sa stupeur et à son épou- vante, ils s’enfoncèrent dans le mate- las. En effet, celui-ci était déeousu. Les fils en penduient. Elle suisit le billet! Muis il e1 manquait une moi- tié' Elle faillit pousser un cri. Elle put, pourtant, se retenir. La Puce, l'entendant s'ugiter. lui demanda
Qu'as-tu?
Rien, répondit-elle, ayant résolu aussitôt de lui t&ire la chose uffreuse, au moins jusqu'au lendemain, afin qu'il pût dorimir en paix
Muis elle, combien étaient grandes sa stupeur et sa douleur! Mille pen- sées la dévoraient. Ainsi, sa cachette avait été découverte. Et on avait mis la main sur le trésur. Mais qui? La Chatouillard ou Séraphin? Ce ne pouvait être que l'un ou l'autre. Et. cependant, il lui srublait que ce n'é-
tut, et déjà la |
tait ni elle ni lui Un tas de “pour- |
quoi? mystérieux se dressaient. Comment, d'abord, avait-on pu;con- naitre l'existe:ice du bullet” Ensuite, pourquoi celui ou celle, homme ou femme, qui en avait sur la soustrac- tion opérée par la Fuce et l'endroit où il avait été si bien dissimulé, pour- quoi cette personne — puisque, évi- demrhent, elle leur voulait du mai à
2 D
É
De om 5587 Je CODE oi on ee amis d'y an. STE RS TU
_—- Ah! la chose a dû être faite pré- cipitamment par quelqu'un de pressé.
Car, en effet, au leu d'avoir été séparé en deux avec soin, et tout droit en suivant dans son milieu la ligne du pli naturel, le billet ‘ présentait, sur ce côté en question, des coeches et des dentelures, comme s'il avait été brutalement déchiré et arraché en bâte. Et ceci expliquerait alors pour- quoi le malfaiteur, peut-être dérangé dans son opération, n'avait pas eu le temps de recoudre le matelas.
Cependant, exténuée, elle allait s'’assoupir, quand la Puce, avec hor- reur, s'écria: ;
Un rat! sur la figure!
A l'instant, il voulait partir, s'é- chapper de dessous le lit. CGredine l'en empêcha. D'ailleurs, la Cha- touillard, réveillée: en sursaut, tem- pétait : os
Un rat! Ca n'est pas vrai! I) n'y a pas de rats chez nous! On n'en a jamais vu! Et puis, quand même il y en aurait un, dix, vingt, et qui t'auraient ‘promené” sur le nez... mauvaise gale! voilà-t-il pas de quoi hurler à réveiller des morts! Attends un peu, mon mignon. Si t'es si ch touilleux, je t'en donnerai, moi, des rats! et des gros comme des lapins' Ainsi, plus un mot où je cogne!
Et s'il avait fait clair, le enfants auraient vu balancer, prêt À les frap- per, son énorme poing qu'elle avait retiré de dessous ses draps et qui pendait presque au ras du plancher. Mais quel ne fut pas le saisissement, encore plus grand, de la Puce eu en- tendant alors Gredine s'écrier:
Un rat, tu dis? Un rat! C'est vrai? Ah! quel bonheur! Ah! que je suis contente! |
Et plus bas, en lui couvrant la bou- che:
luterdit, mais pourtant calmé, le petit se serra donc contre son ainie, tandis qu'elle, comprenant tout, 8e di- sait:
Un rat!
Il m'a passé
J'y suis! C'est le rat! le rat qui!
a rongé la toile et mangé le billet!
Et à l'idée que ni Séraphin, "x ma- dame, ni personne autre, comme elle le redoutait si fort, n'avait découvert la cachette et, par conséquent, ne pou- vait soupçonner leurs projets de fui- te, elle bénissait tout de même le Bon Dieu, malgré la perte irréparable de l'argent, et elle en aimait le rat, le bon rat providentiel d'où leur venait cependant la ruine!
Gredine n'ayant pas ouvert la bou- che à la Puce du billet mangé, le pe- tit n'en savait rien.
A quoi bon, pensait-elle, puisque le mal est fait, le lui raconter? Il sera bien temps, si j'y suis forcée, de le mettre au courant.
Elle remit donc le papier à sa mé- me place, et elle était en train, le len- demain, de laver la vaisselle, quand madame, l'apostrophant:
Ah çà! qu'est-ce que c'est que cette craque de rat que vous m'avez chantée tous les deux cette nuit? Il n'y a pas de rats, ici! Je vous le ré- pète! Ici, c'est une maison propre!
En effet, madame, dit Gredine, et la Puce révait. Oui, ce qu'il a dû prendre pour un rat sur sa figure, c'est la queue de Pompon. Ah' ce chien n'est pas méchant, sans doute, mais c'est de sa faute! Sans comp- ter qu'en mordant notre matelas, il l'a décousu, dans un coin.
Ab' oui! Vraiment? Tiens! Tiens! ricana la Chatouillard. Et tu me dis Ça, toi, petite rouée, pour que je vous retire la bête, hein? et que vous puissiez vous étaler tous les deux en largeur, à votre aise? Mais Ça ne pr#ud pas, mademoiselle la fuurbe, et justement parce que vous
Un ministre du Nouveau-Bronswick recommande “Nerviine”
Ce populaire onguunt peut trouver plusieurs modes d'emploi dans chaque foyer
North Head, 20 avril Le Rév. Jo seph T. Hutton recommande haute ment Nerviiine Il s'est servi de ce
Merveilleux ouguent et ne cesse de ré péter toët le bien G«'il en a obtenu “li me fait plaisir, dit M Hutton, de vous dire toute la bonté de Nerviline, pour emploi interne el externe Ner- viline ne faillit jamais Je le cousi
dère comme un ami indisbédsabie.”
Et puis,
et c'était presque déjà le printemps. Même dans la caverne où giîtaient les Chatvuilurd, et qui, par les jours'tes plus ciairs, ne devenait que livide, on pouvait, cependant, s'apercevoir, ce jour-là, des approches d'avril à cer- tains signes n'échappant pas à Gre- dine, attentive, en sa solitude, à tout observer. 11 n'y avait qu'à savoir s'y prendre. Il ne fallait pas espérer, chez la mère Locati, en regardant devant soi, et autour de soi comme tout le monde le fait, avoir sujet d'être égayé et rencontrer rie d'agréabie. On ne voyait, de quelque côté que l'on se tournAt à l'intérieur, qu'un logement sordide et.sombre, et. à l'extérieur, à travers les carreaux enârassés, que des murs lépreux. Seul, le pavé, toujours luisant et gras, recevait un peu de lumière qui, tombant d'en haut, venait y mourir.
Mais, malgré tout, Gredine, en s'aplatissant de côté contre la fené- tre et en se reuversant le plus possi- ble en arrière, arrivait, du fond de sa fosse, à apercevoir, d'abord en face, au quatrième étage, entre les barreaux de fer d'une petite croisée grillée, une plante morte émergeant d'un ancien bidon de pétrole, et en-
tisse, un carré d# ciel, noir quand le ciel était couvert, et bleu quand, par hasard dépouillé de ses nuages, il se révélait pur. Enfin, sous la pout- rière rompue et branlante au bord du toit, il lui était parfois possible, d'en
ite, tout en haut de la siistre bâ-°
F :
— C'est l'heure de se coucher! . L'ONCLE | Mais c'est que, moi, j'ai déjà som- meil. Kt si je m'endors en vous ra- contant ? MARGOT Nous vous réveillerons. L'ONCLE : Allons' je vois que vous ne m'ai-
le capuchon, avec son pouce au vent: Pompon, assis, l'écrileau au coù com- me un écolier en pénitence, et. entre eux deux, Séraphin, faisant ses gam- mes et rabâchant sa plainte Il y avait, au moment où novs en som- mes, sept ou huit personnes arrêtées devant eux. celles-ci s'intéressaient au jeu des mains de Séraphin sur le Cahier aux lignes mystérieuses, cet- les:là <usidérant avec un visage api- toyé la Pure, qui faisait semblant de dormir; et puis d’autres, témoignant à l'égard du canieche une curiosité des plus sympathiques Au nombre de ces dernières, se trouvait une dame qui regardait Pompon avec des yeux très tendres. Elle s'avança vers lui, ouvrit son réticule de velours et y plongea résolume:t la main. jusqu au fond, tout au fond Comme si, en l'entendant venir, il avait compris sa pensée, le chien avait levé le nez, et sa queue sous lui, en même temps: balayait le trottoir. Devant lui, la tasse entre ses deux pattes ouvrait toute grande sa bouche de fer-blanc. Ayant retiré-sa main du sac, la dame en sortit un gâteau sec. Comme le chien ne bougeait pas, puisqu'il était aveugle, la dame alla jusqu'à lui et lui tendit le gâteau Dès que Poæ- pon l'eût senti, il le happa et le ero-
bas, de découvrir, grouillant et vole- {qua (c'était la première fois qu'il en
tant, plusieurs moineaux qui y avaient bourré, dans des trous du mur, leur nid de paille. Elle y trouvait alors un plaisir délicieux, mais qui ne du- rait guère, et finissait brusquement à la minute où retentissait à ses oreil- les l'effrayante et éternelle menace de madame::;:
Attends un peu que je te voie rêver, et rire aux anges!
Si, déjà, les prmiers effets du printemps se faisaient sentir à Gre- dine et dans l'entonnoir de le rue du Prévôt, jugez à quel point, dehors, en plein air et en pleine claité, ils devaient griser la Puce!
On était, ce jour-là, un vendredi, jour où Séraphin ‘faisait’, au coin de la rue Daunou, le boulevard des Italiens. Les trottoirs 8ecs réson- naient sous le pied, et le soleil bril- lait ce qui rendait les passants de bonne humeur et mieux disposés à l'a charité. Installés contre le mur, à l'entrée d'une maison où on les tolé- rait, Pompon, la Puce et Séraphin remportaient leur succès ordinaire. Après avoir déjeuné rue Royale à leur bouillon, ‘Au Progrès’, ils of- fraient, tous les trois, l'aspect le plus agréable: Séraphin, rouge et bouff de digestion, pianotait avec un en- train endiablé ses feuilles de braille en lançant son refrain: ‘Ayez pitié. de l'infortuné Séraphin!”, Pompon, à qui tous les consommateurs du ‘“Pro- grès’ avaient donné leurs assiettes à lécher, portait haut sa vieille tête et ses moustaches de gehdarme. 11 sem- blait même que ses yeux eussent re- trouvé un peu de leur ancien éclat, et sans l'inscription de l'écriteau pro- clamant à son col: ‘Et moi aussi, je
rait pas cru aveugle. Enfin, la Puce offrait un intérêt très puissant. et tout particulier
MARGOT Pourqpoi donc ? L'ONCLE __—— C'est que Séraphin, sur l'insistan- ce de sa sueur, avait consenti, ce jour- là, où le froid n'était ‘pas vif, à inau- gurer avec l'enfant le coup du pouce de pied nu sortant du soulier, et dume' cela faisait le boulevard uu effet énorine. 11 n'était certes pa’ gros, ce gringalet de doigt de pied
sur
mais tout blanc, si menu, il attiruit pourtant tous les regards. 1l restait iminobile, comme gelé et mort, of
l'eût dit en cire vu en marbre, et puis, par instants, pour se déguurdir, il remuait et se dressait tout droit.
11 ressemblait alors, planté dans le cuir de la chaussure, à un de ces petits champignons des bois qui per- cent le terreau noir, et il avait aussi l'air, comme un doigt de la ciaiu, de faire signe aux passants, de les ap- peler
Hé! Pstt' là-bas, s'il vous plait,
arrivez donc et donnez-moi'
Enñfin, il faut bien l'avouer, si Porm- [pon avait pu sé rendre compte du suc
suis comme mon maître'”, on ne l'au- f
mangeait) avèc un si comique plai- sir que tout le monde en rit Seul,
Séraphin, qui avait deviné où vu de coin la chose, en parut mécontent :
- Cessèez' dit-il d'un ton rogue. Il
est défe:idu, ici, de rien donner à manger à 1non personnel, ‘1 au chien ui à l'enfant" ° A ces mots, un étonnement, auquel se mmêlait une vive réprobaliun. se ma- nifesta parmi les’ personnes présen- tes. Cette fäçon d'englober ‘dans son personnel" le caniche et l'enfant et d'interdire que l'on offrit à l'un comme à l'autre la moindre friandise déplut à la majorité, qui ne se gêna pas pour l'exprimer sans politesse
Ah! bien! en voilà un gracieux"
- Il fait vraiment bon d'être s01 chien!
— Et aussi son enfant’
Des aveugles de ce modèle-Là. merci! Ne m'en parlez pas!
Voilà les gentillesses qui se croi- saient et que devait entendte, impuis- sant, Séraphin. !l aurait dû s'en te- nir là et avaler ces vérités, mais, en- tre mille défauts, il avait celui d'être rageur, même contre son intérét Il devenait alors blanc À faire peut et il lAchait malgré lui des propos irré- parables. Excité par ces reproches, il eut l'imprudence d'ajouter en ap- puyant:
Et quant à ceux-là qui m'imju- rient parce que je sus infirime, ils sont des coeurs de brouze' Et au lieu de donner des gâteaux à mon chien, ils feraient mieux de me due- ner des sous à moi pour acheter du pain. Ah' là là'
Bien loin de convaincre ceux qu'el- le visait, cete injonction les piqua de- vantage:
Coeurs de bronze’ Cueurs de bronze' répétaient en riant les uns eu le prenant à la blague, tandis que les autres, plus susceptibles, décla raient :
De quoi” Des sous à cet oiseau 7 Plus souvent! Dé
+.
L Sans doute, leur dit une jeune fille, mais si vous ne le failes pas puur lui. faites-le au muins, cumme moi, pour l'enfant Ayant ainsi parlé, elle lu ft | au mône et s'en nila légèr- DRANNE Et la dame au zjateau” L'ONCLE
Ot' la darne au gâteau n avait pas du tout l'air trouble par tout <a Bieu au cuatraire, ayant de nouveau plongé la main dans sun sac, elle eu retira, cette fois, un morceau de sucre
NELL
Oh! mais c'est un vrai buffet que
le sac de cetle dame’ L'ONCLE
Elle avait fait ua pas vers Fueæ- pun. Mais celui-ci, mis en goût par le petit-beurre et reniflant le sucre fut tellement tenté qu'il qutis ls po- sition du caniche assis et s'élançcs au devant de le dame Dans ce boit li renversa la tasse, et les sous qui sy
que Ça'- Alors, si vous aviez vla, dame’ Elle s'étant précipitée sur Ss- raphin dont les doigts continuniwet comme des crochets de fer de sen foncer dans La peau du canmhe. et elle. à sue tour. ui prenant be pue- guet: - Qu'est-ce que c'est que ça” Vow- lez-vous lâcher cetile Réte’ tuuft de suite! ou
Je la Bicherai quand janrsi mon argent. disait l'aveugle largent qu 1f a renvers qui a roulé Qs ele est
pes
Où’ s'écrin La dame enteme- vous le vilain homme" qui ne pense qu'à son argent son argent mel e- quis°
Cependant après qu'on «uf ramss- se les sous !i° y en avt trente -Lross et qu'on Îles eut remis dans La tasse. les gens qui suivant La scène y pre- naient rpaintenant gramd gv@t is uns pour blâmer La dame et méme sen moquer. Les autres pour lapprouuvez je dois même dire que ceut-<1 étawmt les plus nombeeux Les aus se crut saient
- Elle à tort’
Elle à raison’ Mais non’ De quoi se méfie t- elle”
— Mais oui’ eriait l'aveugie. À qui est le chien” À elle où à mu” S'u le mérite, je le cocrige’ et Çn ne la regarde pas’
Ah' vraiment” déclarait be de- me, et toujours d'un calme Inc mais ferme comme um roc Eh been’ je vais vous Le montrer si se me regarde pas’ Vous n'avez pas Le droit, sans raisun par pure mécbas- ceté, de battre cette bete Elle eff im- nakente, et cest ous qui mériteriez d'être eurrigé EX si jétes an im ne. Ça serait déjà fat” 4 Séraphin, bléme de fureur Osez @uac frapper un aveugle”
Vous frappez lien votre cisen qui l'est. biche et qui ne peut pes ze
défendre"
C'est pas pareil’ dt Le men- diant Un chien n'est pas use per- nr
Presque’ affirme La dame
EX puis, tal, crache Séraphée au caniche, attrape CA tiens, pour ta' peine"
En méme temps. il lu enveyait un grand coup de poing sur La tête
Ak' cette fuës it Le dame je ne vous lèche plus" Allende un peu EX regardant à drunte à gauche
Un agent” Où y at «a agent”
Le dernier geste de Séraplhun area aussitôt révolté les passants amas sés, et dunt le nombre Gegats be de but de la scène ne fnesml que gran- dr Aus quasi La ame ef de- mandé “Un agent" phuseurs Bus s'élevérent avec La sienne pour Le ré- chamer Mus on eut temx à peste de vue, jeter Les yeux de ous bes côtés . il m'y en aval pes”
Je vais vous en cherches um mai, Ori uR jeune garçge C'étant um pet péfhsuwer. gentil comme UR Cueur en habits bises coiffé de sa lourte et pustast sas tête une manne pleine
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